En
octobre 1971, s'est tenu, dans la Capitale de la Belgique,
un Congrès international sur l'avortement présidé par le Docteur
Libbrecht, président général de la Société Médicale Saint-Luc.
Toutes les conclusions seraient à citer.
Nous en choisissons quelques-unes pour nos lecteurs :
(Les Congressistes) « Constatent que le droit
de la vie de l'enfant à naître doit être maintenu comme condition
nécessaire et indispensable de l'ordre juridique général » ;
« Constatent que la déontologie médicale
maintient inébranlablement la protection de la vie dès la conception,
comme une exigence fondamentale de l'éthique médicale » ;
« Constatent que la tâche du médecin doit
viser à traiter les maladies de la mère et les maladies de l'enfant
à naître. »
« Constatent que tuer celui-ci, quelque soit
le stade de son développement, n'est pas un acte thérapeutique
médical » ;
« Considèrent toutes vies comme un
don inaliénable qui exige un respect absolu ; »
« Déclarent que croyants et incroyants doivent
être prêts à collaborer honnêtement pour trouver une solution
vraiment digne de l'homme aux problèmes de la grossesse non désirée,
de l'avortement provoqué, et de tous les problèmes qui mettent
en cause les valeurs humaines essentielles. »
Ce programme rejoint entièrement celui de l'Association Belge
"PRO VITA", 52, rue de la Molignée, 1160 Bruxelles.
© Laissez-les-Vivre
– SOS Futures Mères, octobre 1972
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