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L'AVORTEMENT ET LA DÉMOGRAPHIE



Erreurs malthusiennes à détruire
Relation de l'Homme et la Nature
Rôle du travail humain : dimensions de l'homme
Les deux univers
IMPRIMERL'univers humain grandit avec l'homme

« II y aura bientôt trop d'hommes » nous dit. on souvent. Et de fait, le malthusianisme est la cause majeure des avortements : il intoxique les esprits, rend l'économie défavorable aux familles et s'oppose aux corrections sociales qui leur sont nécessaires. Ce n'est pas par hasard qu'une campagne acharnée se poursuit en France et dans toute l'Europe.

Vous en réfuterez les mensonges ou les erreurs quand vous aurez compris que, dans un monde en expansion les ressources humaines croissent avec l'homme.


Le précédent article a décrit la véritable nature de la "consommation" et de la "production" humaines, qui sont les manifestations essentielles des relations de l'homme et de la nature. Il y en a d'autres que nous allons examiner maintenant. Ces manipulations de la matière par l'homme ne se font pas toutes seules mais par le travail de l'homme. Ce point est à la fois évident, essentiel et décisif. Il est négligé dans un raisonnement néo-malthusien très fréquent qui nous donne l'occasion à la .fois de préciser ces rapports (de l'homme et de la nature) et de réfuter non pas une mais plusieurs erreurs fondamentales du malthusianisme.

L'image du gâteau

Ce raisonnement néo-malthusien est de présenter la nature comme une quantité finie à partager entre les hommes avec comme conclusion que la part pour chacun est d'autant plus grande que le nombre d'hommes est plus petit, d'autant plus petite que le nombre d'hommes est plus grand.

S'il est irréfutable que les parts d'un gâteau sont d'autant plus grandes que le nombre de parts est plus petit et d'autant plus petites que le nombre de parts est plus grand, l'image du gâteau (quantité finie) partagé et mangé par des convives ne correspond pas à la réalité en cause.

Première erreur : dans un banquet les convives partagent et mangent le gâteau préparé et cuit pour eux. Ils ne le préparent pas. Cette image n'inclue pas le travail de fabrication du gâteau. Or, dans l'assimilation de ce gâteau aux biens terrestres, l'application de nette image tend à faire croire que les biens de la terre sont tout cuits et tout prêts à tomber dans les bras et la bouche de l'homme. Or, c'est faux, ils ne viennent à sa disposition que par son travail.

Rôle du travail humain

Cette omission du travail humain comme phénomène intermédiaire entre l'homme et la nature est une erreur irrémissible, sans appel, formelle, qui rend à elle seule fausse toutes les conclusions de ce raisonnement malthusien, un peu comme celle d'un ingénieur de l'aéronautique qui oublierait l'existence de l'air ou comme celle d'un physicien gui oublierait la gravitation. C'est une erreur impardonnable parce que le travail est une réalité évidente à tous et qui n'exige pas de hautes performances intellectuelles pour être perçue, parce que nette omission entraîne des conclusions nécessairement fausses.

Il y a bien une équation et une règle de trois que l'on verra mais qui n'est pas telle de l'erreur malthusienne.

L'inclusion obligatoire du travail humain dans cette relation comporte des conclusions fondamentales.

L'importance des biens à disposition est fonction de l'importance du travail (T) (importance qui inclue non seulement la quantité du travail mais son intelligence et son efficacité). Si le travail est petit, peu de biens seront à disposition, s'il est grand il y en aura beaucoup. Il faut donc fabriquer le gâteau par le travail et il sera petit ou grand selon que le travail aura été petit ou grand. Ce gâteau (qu'on peut assimiler à la production P) augmente quand le travail augmente, diminue quand le travail diminue.

Les biens terrestres (biens terrestres = production = P) sont proportionnels au travail humain (T), le mot travail étant pris dans son sens le plus large et ils sont d'autant plus grands que la capacité de travail est plus grande.

Le gâteau réel n'est donc pas une quantité fixe contrairement au gâteau des convives qui est fixe, c'est la l'erreur de la comparaison malthusienne du gâteau.

Il y a certes un coefficient de pays (K), les pays offrant à l'activité humaine des facilités plus ou moins grandes. Si le pays est difficile les biens terrestres seront moins abondants, si le pays est facile ils seront plus abondants. Mais, pour un pays donné, les bien seront peu abondants si là capacité de travail est faible, abondantes si la capacité de travail est élevée, restant ainsi proportionnels à la capacité de travail, le coefficient de pays ne retirant rien à cette proportionnalité, d'où la relation : P = K x T.

Ces biens mis à la disposition de l'homme par le travail de l'homme constituent la masse économique.

Dans un pays donné, la masse des biens produits (P) est proportionnelle à la capacité de travail de l'humanité de ce pays. C'est dire qu'elle sera globalement d'autant plus élevée que ce travail (T) sera plus grand, et le travail sera d'autant plus grand que la capacité de travail individuelle moyenne (C.T.I.M.) sera plus grande et la population au travail (PoTr) numériquement plus importante, d'où les relations

T = CTIM x PoTr et P = K x T

qui devient

P = K x CTIM x PoTr

Cette dernière relation, il faut y insister, donne à la valeur individuelle c'est=à-dire à la capacité individuelle de travail, la place à laquelle elle a droit.

Le gâteau augmentant proportionnellement à la capacité individuelle et au nombre des producteurs, la crainte d'une diminution de la part individuelle précisément du fait de l'augmentation du nombre des producteurs, est sans fondement et ne doit pas exister. Le problème de la part individuelle est, d'autre part, lié à la structure par âge de la population, au rapport de la population active sur la population totale mais elle reste toujours proportionnelle au nombre et à la capacité individuelle des producteurs.

Les phénomènes inhérents à l'existence des trois phases de la vie humaine et au renouvellement de la partie productrice, donc à l'investissement démographique, ne changent pas ces données de base, mais ils introduisent des données complémentaires liées aux caractéristiques de tout investissement et que nous analyserons dans les articles suivants.

L'image du gâteau recouvre une troisième erreur. Le gâteau une fois mangé n'existe plus, il a disparu, c'est l'image simple qui frappe le public et qui est à la base d'une partie du raisonnement malthusien. Outre que le gâteau ne disparaît pas au sens de transformation en néant (il disparaît de la vue) mais se transforme dans l'organisme en énergie chimique et calorique, l'image appliquée symboliquement aux biens terrestres est fausse comme nous l'avons démontré dans le précédent article. Les biens "consommés" par l'homme ne disparaissant pas, ils sont seulement manipulés et se retrouvent sous une autre forme. Cette idée suggérée par l'application de cette image aux biens terrestres est donc fausse.

L'image du gâteau recouvre une quatrième idée. La notion du gâteau-quantité fixe vue plus haut est aussi appliquée non plus à des biens terrestres ou à une certaine quantité d'entre eux, mais à l'univers lui-même. qui est présenté comme une quantité fixe, voire comme une boîte, comme une pièce de maison (il en a été ainsi, récemment, à la Télévision française) symboles d'une quantité finie, d'un espace limité. Ce symbolisme aboutit toujours à la conclusion que la place pour chacun est d'autant plus grande qu'il y a moins de personnes dans la pièce et d'autant plus petite qu'il y en a plus. Il s'agit là d'un symbolisme sommaire qui ne tient pas compte de la réalité. Outre que l'univers connu a des dimensions qui dépassent les imaginations les plus débordantes et qui se calculent en milliards d'années-lumières-cube (1) et qu'il est abusif de le présenter comme une boîte et mieux une petite boîte en suggérant filée que la masse humaine, qui ne représente pas plus de 1/5 de km³ s'y trouve étouffée (comme si une bactérie pouvait être étouffée faute de place dans (Himalaya), la réalité va plus loin.

Les deux univers

Il y a l'univers vu par l'homme et il y a l'univers réel dont il est évident que l'univers vu par l'homme ne représente qu'une partie (2).

L'univers vu par l'homme a de plus considérablement évolué au cours des temps depuis qu'il y a une histoire de la pensée. Ce que l'homme en a vu a considérablement grandi au cours des siècles sur le double plan des dimensions perçues et des mécanismes connus.

Il s'agit d'une succession d' "interprétations" de l'esprit humain et il est infiniment probable que notre "interprétation" actuelle n'est pas la dernière.

Ce qui s'est passé au cours des siècles dans l'évolution des dimensions de l'univers humain existe en raccourci actuellement entre le monde vu par l'enfant à la naissance et le monde vu par le directeur de la NASA ou les maîtres de l'astronomie et de la physique ou des autres sciences.

Une différence analogue existe encore entre le monde vu par les peuplades les plus arriérées de l'Afrique ou de l'Asie et celui vu par les esprits les plus élaborés de la science et de la philosophie modernes.

Bref, il y a le monde humain, le monde vu par l'homme et il y a le monde dans sa réalité totale, qui comprend en outre tout ce que l'homme ignore, ne voit pas, ne perçoit pas.

Ce monde dans sa réalité totale est l'objet non pas de la connaissance scientifique mais des spéculations de la pensée. Il n'est pas " connu y il est "imaginé".

Est-il fini ou infini ? L'esprit humain butte sur cette question, il ne peut concevoir ni l'une ni l'autre de ces deux éventualités. On ne peut pas parler de la dimension de quelque chose dont on ne sait pas si ce quelque chose a ou non des limites (et qui de toutes façons sont situées au-delà du connu, et par définition, ainsi ne sont pas connues et donc pas mesurables de doute façon).

Ce qui est sûr est que ce monde dans sa réalité totale est plus grand au sens dimensionnel du terme et au sens structurel du terme que le monde connu par l'homme dans son interprétation la plus vaste. C'est un premier point.

Ce qui est sûr encore est que ce monde total connu et inconnu est absolument colossal, puisqu'il dépasse le monde visuellement connu pat l'homme grâce à ses instruments les plus perfectionnés et que ce dernier est déjà colossal se comptant en milliards d'années lumière cube.

Rappelons qu'une année-lumière est de 9 461 milliards de kilomètres, qu'une année-lumière cube a un volume de 9 461 milliards x 9 461 milliards x 9 461 milliards de kilomètres cubes et que c'est un symbolisme vraiment dénaturant et simpliste que de comparer cette super immensité à une petite boîte ou à une pièce de maison.

Mais que cet univers dans sa réalité totale connue et inconnue soit ce qu'il soit et que nous ne savons pas, sauf qu'il est colossal, une autre chose est sûre c'est qu'il contient à l'intérieur de lui-même l'univers humain.

L'univers humain n'est pas une quantité fixe

De nombreux faits le prouvent.

Sa dimension visible par l'homme a énormément grandi au cours des siècles. Cette dimension visible de l'univers humain correspond à la portée de vue de l'homme prolongée par ses instruments. C'est une dimension de l'homme, car c'est l'homme qui voit plus loin grâce à ses appareils et c'est la portée de vue de l'homme qui, grâce à ses appareils, a prodigieusement grandi. Il voit des galaxies et des étoiles lointaines dont l'existence n'était même pas soupçonnée il y a quelques siècles, voire quelques décennies sans remonter à Jésus-Christ et aux temps bibliques.

La partie qu'il foule de ses pieds a moins, mais cependant considérablement, grandi, elle aussi. Ce fut d'abord la conquête presque complète de la terre, puis la conquête de la lune, étape d'une importance historique et scientifique considérable et qui n'est pas la dernière.

Le rayon d'action de chaque homme a augmenté prodigieusement avec le développement des moyens de communications modernes. comparez l'espace traversable aujourd'hui par rapport à ce qu'il était seulement il y a 25 ans, il y a un siècle et a fortiori dans les temps plus reculés.

La pénétration intellectuelle de l'homme dans les mécanismes de la nature a grandi prodigieusement aussi, et plus dans les 50 dernières années que de l'origine des temps à il y a 50 ans.

La quantité d'énergie de la nature que l'homme est arrivé à contrôler en l'utilisant à ses fins a grandi aussi dans des proportions extraordinaires. La quantité de substances alimentaires qu'il est capable de produire a augmenté aussi prodigieusement. Comparer la production actuelle à celle du XIXe siècle ou à celle du Moyen Age. On pourrait poursuivre l'énumération.

Cet univers humain, très loin d'être frixe, s'est accru dans des proportions extraordinaires, continue à s'accroître et selon toutes probabilités, va continuer à le faire à moins que l'humanité ne dégrade son intelligence et sa capacité de travail.

Nous pouvons remarquer que si la dimension du monde visible par l'homme est colossale, la dimension du monde foulé par l'homme est encore toute petite mais elle virent de faite un bond prodigieux et rien ne s'oppose fondamentalement à ce qu'elle en fasse d'autres.

Le processus d'extension du monde humain s'est fait par un phénomène dont nous analyserons plus loin les mécanismes, à savoir l'investissement dans la transformation créatrice (termes conçus au sens le plus large), et qui fait appel à la faculté de comprendre, à l'orientation de l'action dans un sens déterminé et à la capacité de travail de l'homme.

Ce que l'homme met de d'univers à sa disposition et qui constitue l'univers humain dépend de son intelligence, de sa faculté de comprendre, de ses capacités de travail et de l'orientation de ce travail dans un sens déterminé.

L'orientation étant bonne, la dimension du mondé humain est proportionnelle à l'intelligence et à la capacité de travail de l'homme. Elle croit avec la croissance de ces deux dimensions.

L'univers humain grandit avec l'homme

L'idée d'une humanité enfermée dans une boite close, aux limites fixes, est complètement fausse. L'univers humain qui est une dimension de l'homme épouse l'évolution de cette dimension. 11 est cette dimension elle-même. Il suit donc nécessairement ses propres fluctuations. Il grandit donc nécessairement avec elle et il diminuerait comme elle si précisément elle diminuait. Si l'humanité redevenait idiote (diminution de sa quantité de matière grise efficace) ou si le nombre de ses actifs s'effondrait ou si les deux constantes (nombre des actifs et valeur des actifs) s'effondraient simultanément, l'univers humain redeviendrait tout petit.

L'humanité n'est donc pas enfermée, et cela doublement. L'univers humain qui sait ses propres fluctuations grandit quand elle grandit, diminue quand elle diminue. L'humanité n'est donc pas enfermée par lui. Et cet univers humain se développe dans l'immensité de l'univers réel total qui est la dernière chose à souffrir d'exiguïté, et offre à l'univers humain ses immensités insondées et qui ne l'enferment donc pas, bien au contraire.

L'idée que l'univers total puisse "enfermer" l'univers humain est ainsi absurde. Il lui offre au contraire des possibilités d'expansion extraordinaires.

La notion de fixité du gâteau (les biens manipulés par l'homme) est fausse comme la notion de fixité de la boite. L'univers manipulé par l'homme, c'est-à-dire la quantité de l'univers manipulé par l'homme, qui représente la "production" ou les biens terrestres, est aussi une dimension de l'homme et est justiciable des mêmes observations que les autres aspects de l'univers humain.

Recouvrant donc sous le terme de gâteau les biens terrestres ou la production P, sa relation avec la capacité individuelle de travail (CTIM) et la population au travail (PoTr) est donnée par l'équation vue plus haut.

P = K x (C TIM x PoTr)

Le gâteau est d'autant plus grand qu'il y a plus d'hommes qui travaillent et que la valeur individuelle de chacun (complexe intelligence capacité de travail) est plus grande.

On sait que la population active n'est qu'une partie de la population totale, qui comprend en outre la population jeune qui deviendra active, et la population âgée qui sort de la production. C'est la masse de biens produits par la partie active (et qui est proportionnelle au travail et à l'intelligence de cette partie active, selon la relation vue plus haut) qui est partagée entre les individus de la totalité de la population, selon la relation

P.T. = P/PoT = K X (CTIM X PoTr)/PoT (Pl. = part individuelle, P = production/PoT = population totale).

Ce qui est divisé par (effectif de la population totale, ce n'est pas une quantité fixe (avec les conclusions vues plus haut) mais une quantité proportionnelle à l'effectif de la population qui travaille (PoTr) et à la valeur de ses membres et qui s'accroît donc avec ces deux facteurs.

En d'autres termes, et c'est l'essentiel à retenir, la part individuelle est d'autant plus grande que la valeur et le nombre des gens qui travaille-nt sont plus élevés et que la proportion des gens qui produisent dans une population est plus grand.

L'analyse des variations de ce rapport en fonction des variations démographiques sera faite ultérieurement. Elle nécessite des notions qui n'ont pas encore été exposées, notamment les incidences démographico-économiques de l'investissement et sans lesquelles on ne peut pas comprendre.

Disons seulement que le malthusianisme en détruisant la partie productrice de la population, entraîne, après un avantage passager et à discuter (avantages et inconvénients du sous-investissement), une baisse de la capacité productrice de la société qu'il touche, une baisse des moyens économiques globaux de cette société, et une abaisse de la part individuelle, la partie âgée de la population augmentant sa proportion d'autànt plus que le malthusianisme est plus important, et pouvant être encore augmentée par sa variation propre.

L'essentiel, à ce stade de la discussion, était de montrer qu'il y a tore relation entre l'homme et les biens dont il peut disposer et que cette relation est le travail humain, le mot travail étant bien entendu pris dans son acception la plus large. L'essentiel était aussi de montrer encore que la quantité des biens dont il peut se rendre maître n'est pas fixe, mais variable, et proportionnelle précisément :à son activité de travail. Il fallait briser cette nation radicalement fausse de fixité de la quantité de biens que l'homme contrôle. Si elle était vraie ceci voudrait dire que les hommes de 1973 n'ont pas plus de biens matériels et énergétiques à leur disposition qu'au Moyen Age ou aux temps bibliques. Mieux encore ceci voudrait dire que par exemple la population de la France de 1973 étant environ 3 fois ce qu'elle était au Moyen Age, la quantité de biens globale étant fixe, le niveau de vie du Français de 1973 est 3 fois plus faible que son niveau de vie du Moyen Age. C'est oui ou c'est non. Au lecteur de répondre !

C'est l'influence prise dans l'opinion et la presse par ces idées et les hommes qui les secrètent qui conduit le Gouvernement à vouloir autoriser les femmes à faire couper leurs enfants en morceaux ou à les faire réduire en bouillie (méthode Karman) par les avorteurs et à vouloir les subventionner pour cela financièrement (projet M.T.P.).

Le crime c'est trop. Le crime, autorisé, aidé, subventionné, c'est un comble ! Et commandé en outre par (erreur et l'absurdité, c'est vraiment un sommet dans le genre !

(1) Définition
(2) Là encore il ne s'agit pas d'une notion intellectualiste. Tout le monde sait qu'il y a des choses que l'on connaît et des chocs que l'on ne connait pas et qu'il y a des choses au-delà de celle qu'on voit. L'Univers réal est la totalité des choses connues et inconnues, l'Univers humain n'étant que les choses connues de l'homme.

E. TREMBLAY

© Laissez-les-Vivre – SOS Futures Mères, décembre 1973

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