Le
précédent article a décrit la véritable
nature de la "consommation" et de la "production"
humaines,
qui sont les manifestations essentielles des relations de l'homme
et de la nature. Il y en a d'autres que nous allons examiner maintenant.
Ces manipulations de la matière par l'homme ne se font
pas toutes seules mais par le travail de l'homme. Ce point est
à la fois évident, essentiel et décisif.
Il est négligé dans un raisonnement néo-malthusien
très fréquent qui nous donne l'occasion à
la .fois de préciser ces rapports (de l'homme et de la
nature) et de réfuter non pas une mais plusieurs erreurs
fondamentales du malthusianisme.
L'image
du gâteau
Ce
raisonnement néo-malthusien est de présenter la
nature comme une quantité finie à partager entre
les hommes avec comme conclusion que la part pour chacun est d'autant
plus grande que le nombre d'hommes est plus petit, d'autant plus
petite que le nombre d'hommes est plus grand.
S'il
est irréfutable que les parts d'un gâteau sont d'autant
plus grandes que le nombre de parts est plus petit et d'autant
plus petites que le nombre de parts est plus grand, l'image du
gâteau (quantité finie) partagé et mangé
par des convives ne correspond pas à la réalité
en cause.
Première
erreur : dans un banquet les convives partagent et mangent le
gâteau préparé et cuit pour eux. Ils ne le
préparent pas. Cette image n'inclue pas le travail de fabrication
du gâteau. Or, dans l'assimilation de ce gâteau aux
biens terrestres, l'application de nette image tend à faire
croire que les biens de la terre sont tout cuits et tout prêts
à tomber dans les bras et la bouche de l'homme. Or, c'est
faux, ils ne viennent à sa disposition que par son travail.
Rôle
du travail humain
Cette
omission du travail humain comme phénomène intermédiaire
entre l'homme et la nature est une erreur irrémissible,
sans appel, formelle, qui rend à elle seule fausse toutes
les conclusions de ce raisonnement malthusien, un peu comme celle
d'un ingénieur de l'aéronautique qui oublierait
l'existence de l'air ou comme celle d'un physicien gui oublierait
la gravitation. C'est une erreur impardonnable parce que le travail
est une réalité évidente à tous et
qui n'exige pas de hautes performances intellectuelles pour être
perçue, parce que nette omission entraîne des conclusions
nécessairement fausses.
Il
y a bien une équation et une règle de trois que
l'on verra mais qui n'est pas telle de l'erreur malthusienne.
L'inclusion
obligatoire du travail humain dans cette relation comporte des
conclusions fondamentales.
L'importance
des biens à disposition est fonction de l'importance du
travail (T) (importance qui inclue non seulement la quantité
du travail mais son intelligence et son efficacité). Si
le travail est petit, peu de biens seront à disposition,
s'il est grand il y en aura beaucoup. Il faut donc fabriquer le
gâteau par le travail et il sera petit ou grand selon que
le travail aura été petit ou grand. Ce gâteau
(qu'on peut assimiler à la production P) augmente quand
le travail augmente, diminue quand le travail diminue.
Les
biens terrestres (biens terrestres = production = P) sont proportionnels
au travail humain (T), le mot travail étant pris dans son
sens le plus large et ils sont d'autant plus grands que la capacité
de travail est plus grande.
Le
gâteau réel n'est donc pas une quantité fixe
contrairement au gâteau des convives qui est fixe, c'est
la l'erreur de la comparaison malthusienne du gâteau.
Il
y a certes un coefficient de pays (K), les pays offrant à
l'activité humaine des facilités plus ou moins grandes.
Si le pays est difficile les biens terrestres seront moins abondants,
si le pays est facile ils seront plus abondants. Mais, pour un
pays donné, les bien seront peu abondants si là
capacité de travail est faible, abondantes si la capacité
de travail est élevée, restant ainsi proportionnels
à la capacité de travail, le coefficient de pays
ne retirant rien à cette proportionnalité, d'où
la relation : P = K x T.
Ces
biens mis à la disposition de l'homme par le travail de
l'homme constituent la masse économique.
Dans
un pays donné, la masse des biens produits (P) est proportionnelle
à la capacité de travail de l'humanité de
ce pays. C'est dire qu'elle sera globalement d'autant plus élevée
que ce travail (T) sera plus grand, et le travail sera d'autant
plus grand que la capacité de travail individuelle moyenne
(C.T.I.M.) sera plus grande et la population au travail (PoTr)
numériquement plus importante, d'où les relations
T
= CTIM x PoTr et P = K x T
qui
devient
P
= K x CTIM x PoTr
Cette
dernière relation, il faut y insister, donne à la
valeur individuelle c'est=à-dire à la capacité
individuelle de travail, la place à laquelle elle a droit.
Le
gâteau augmentant proportionnellement à la capacité
individuelle et au nombre des producteurs, la crainte d'une diminution
de la part individuelle précisément du fait de l'augmentation
du nombre des producteurs, est sans fondement et ne doit pas exister.
Le problème de la part individuelle est, d'autre part,
lié à la structure par âge de la population,
au rapport de la population active sur la population totale mais
elle reste toujours proportionnelle au nombre et à la capacité
individuelle des producteurs.
Les
phénomènes inhérents à l'existence
des trois phases de la vie humaine et au renouvellement de la
partie productrice, donc à l'investissement démographique,
ne changent pas ces données de base, mais ils introduisent
des données complémentaires liées aux caractéristiques
de tout investissement et que nous analyserons dans les articles
suivants.
L'image
du gâteau recouvre une troisième erreur. Le gâteau
une fois mangé n'existe plus, il a disparu, c'est l'image
simple qui frappe le public et qui est à la base d'une
partie du raisonnement malthusien. Outre que le gâteau ne
disparaît pas au sens de transformation en néant
(il disparaît de la vue) mais se transforme dans l'organisme
en énergie chimique et calorique, l'image appliquée
symboliquement aux biens terrestres est fausse comme nous l'avons
démontré dans le précédent article.
Les biens "consommés" par l'homme ne disparaissant
pas, ils sont seulement manipulés et se retrouvent sous
une autre forme. Cette idée suggérée par
l'application de cette image aux biens terrestres est donc fausse.
L'image
du gâteau recouvre une quatrième idée. La
notion du gâteau-quantité fixe vue plus haut est
aussi appliquée non plus à des biens terrestres
ou à une certaine quantité d'entre eux, mais à
l'univers lui-même. qui est présenté comme
une quantité fixe, voire comme une boîte, comme une
pièce de maison (il en a été ainsi, récemment,
à la Télévision française) symboles
d'une quantité finie, d'un espace limité. Ce symbolisme
aboutit toujours à la conclusion que la place pour chacun
est d'autant plus grande qu'il y a moins de personnes dans la
pièce et d'autant plus petite qu'il y en a plus. Il s'agit
là d'un symbolisme sommaire qui ne tient pas compte de
la réalité. Outre que l'univers connu a des dimensions
qui dépassent les imaginations les plus débordantes
et qui se calculent en milliards d'années-lumières-cube
(1) et qu'il est abusif de le présenter comme une boîte
et mieux une petite boîte en suggérant filée
que la masse humaine, qui ne représente pas plus de 1/5
de km³ s'y trouve étouffée (comme si une bactérie
pouvait être étouffée faute de place dans
(Himalaya), la réalité va plus loin.
Les
deux univers
Il
y a l'univers vu par l'homme et il y a l'univers réel dont
il est évident que l'univers vu par l'homme ne représente
qu'une partie (2).
L'univers
vu par l'homme a de plus considérablement évolué
au cours des temps depuis qu'il y a une histoire de la pensée.
Ce que l'homme en a vu a considérablement grandi au cours
des siècles sur le double plan des dimensions perçues
et des mécanismes connus.
Il
s'agit d'une succession d' "interprétations"
de l'esprit humain et il est infiniment probable que notre "interprétation"
actuelle n'est pas la dernière.
Ce
qui s'est passé au cours des siècles dans l'évolution
des dimensions de l'univers humain existe en raccourci actuellement
entre le monde vu par l'enfant à la naissance et le monde
vu par le directeur de la NASA ou les maîtres de l'astronomie
et de la physique ou des autres sciences.
Une
différence analogue existe encore entre le monde vu par
les peuplades les plus arriérées de l'Afrique ou
de l'Asie et celui vu par les esprits les plus élaborés
de la science et de la philosophie modernes.
Bref,
il y a le monde humain, le monde vu par l'homme et il y a le monde
dans sa réalité totale, qui comprend en outre tout
ce que l'homme ignore, ne voit pas, ne perçoit pas.
Ce
monde dans sa réalité totale est l'objet non pas
de la connaissance scientifique mais des spéculations de
la pensée. Il n'est pas " connu y il est "imaginé".
Est-il
fini ou infini ? L'esprit humain butte sur cette question,
il ne peut concevoir ni l'une ni l'autre de ces deux éventualités.
On ne peut pas parler de la dimension de quelque chose dont on
ne sait pas si ce quelque chose a ou non des limites (et qui de
toutes façons sont situées au-delà du connu,
et par définition, ainsi ne sont pas connues et donc pas
mesurables de doute façon).
Ce
qui est sûr est que ce monde dans sa réalité
totale est plus grand au sens dimensionnel du terme et au sens
structurel du terme que le monde connu par l'homme dans son interprétation
la plus vaste. C'est un premier point.
Ce
qui est sûr encore est que ce monde total connu et inconnu
est absolument colossal, puisqu'il dépasse le monde visuellement
connu pat l'homme grâce à ses instruments les plus
perfectionnés et que ce dernier est déjà
colossal se comptant en milliards d'années lumière
cube.
Rappelons
qu'une année-lumière est de 9 461 milliards
de kilomètres, qu'une année-lumière cube
a un volume de 9 461 milliards x 9 461 milliards
x 9 461 milliards de kilomètres cubes et que
c'est un symbolisme vraiment dénaturant et simpliste que
de comparer cette super immensité à une petite boîte
ou à une pièce de maison.
Mais
que cet univers dans sa réalité totale connue et
inconnue soit ce qu'il soit et que nous ne savons pas, sauf qu'il
est colossal, une autre chose est sûre c'est qu'il contient
à l'intérieur de lui-même l'univers humain.
L'univers
humain n'est pas une quantité fixe
De
nombreux faits le prouvent.
Sa
dimension visible par l'homme a énormément grandi
au cours des siècles. Cette dimension visible de l'univers
humain correspond à la portée de vue de l'homme
prolongée par ses instruments. C'est une dimension de l'homme,
car c'est l'homme qui voit plus loin grâce à ses
appareils et c'est la portée de vue de l'homme qui, grâce
à ses appareils, a prodigieusement grandi. Il voit des
galaxies et des étoiles lointaines dont l'existence n'était
même pas soupçonnée il y a quelques siècles,
voire quelques décennies sans remonter à Jésus-Christ
et aux temps bibliques.
La
partie qu'il foule de ses pieds a moins, mais cependant considérablement,
grandi, elle aussi. Ce fut d'abord la conquête presque complète
de la terre, puis la conquête de la lune, étape d'une
importance historique et scientifique considérable et qui
n'est pas la dernière.
Le
rayon d'action de chaque homme a augmenté prodigieusement
avec le développement des moyens de communications modernes.
comparez l'espace traversable aujourd'hui par rapport à
ce qu'il était seulement il y a 25 ans, il y a un
siècle et a fortiori dans les temps plus reculés.
La
pénétration intellectuelle de l'homme dans les mécanismes
de la nature a grandi prodigieusement aussi, et plus dans les
50 dernières années que de l'origine des temps à
il y a 50 ans.
La
quantité d'énergie de la nature que l'homme est
arrivé à contrôler en l'utilisant à
ses fins a grandi aussi dans des proportions extraordinaires.
La quantité de substances alimentaires qu'il est capable
de produire a augmenté aussi prodigieusement. Comparer
la production actuelle à celle du XIXe siècle ou
à celle du Moyen Age. On pourrait poursuivre l'énumération.
Cet
univers humain, très loin d'être frixe, s'est accru
dans des proportions extraordinaires, continue à s'accroître
et selon toutes probabilités, va continuer à le
faire à moins que l'humanité ne dégrade son
intelligence et sa capacité de travail.
Nous
pouvons remarquer que si la dimension du monde visible par l'homme
est colossale, la dimension du monde foulé par l'homme
est encore toute petite mais elle virent de faite un bond prodigieux
et rien ne s'oppose fondamentalement à ce qu'elle en fasse
d'autres.
Le
processus d'extension du monde humain s'est fait par un phénomène
dont nous analyserons plus loin les mécanismes, à
savoir l'investissement dans la transformation créatrice
(termes conçus au sens le plus large), et qui fait appel
à la faculté de comprendre, à l'orientation
de l'action dans un sens déterminé et à la
capacité de travail de l'homme.
Ce
que l'homme met de d'univers à sa disposition et qui constitue
l'univers humain dépend de son intelligence, de sa faculté
de comprendre, de ses capacités de travail et de l'orientation
de ce travail dans un sens déterminé.
L'orientation
étant bonne, la dimension du mondé humain est proportionnelle
à l'intelligence et à la capacité de travail
de l'homme. Elle croit avec la croissance de ces deux dimensions.
L'univers
humain grandit avec l'homme
L'idée
d'une humanité enfermée dans une boite close, aux
limites fixes, est complètement fausse. L'univers humain
qui est une dimension de l'homme épouse l'évolution
de cette dimension. 11 est cette dimension elle-même. Il
suit donc nécessairement ses propres fluctuations. Il grandit
donc nécessairement avec elle et il diminuerait comme elle
si précisément elle diminuait. Si l'humanité
redevenait idiote (diminution de sa quantité de matière
grise efficace) ou si le nombre de ses actifs s'effondrait ou
si les deux constantes (nombre des actifs et valeur des actifs)
s'effondraient simultanément, l'univers humain redeviendrait
tout petit.
L'humanité
n'est donc pas enfermée, et cela doublement. L'univers
humain qui sait ses propres fluctuations grandit quand elle grandit,
diminue quand elle diminue. L'humanité n'est donc pas enfermée
par lui. Et cet univers humain se développe dans l'immensité
de l'univers réel total qui est la dernière chose
à souffrir d'exiguïté, et offre à l'univers
humain ses immensités insondées et qui ne l'enferment
donc pas, bien au contraire.
L'idée
que l'univers total puisse "enfermer" l'univers humain
est ainsi absurde. Il lui offre au contraire des possibilités
d'expansion extraordinaires.
La
notion de fixité du gâteau (les biens manipulés
par l'homme) est fausse comme la notion de fixité de la
boite. L'univers manipulé par l'homme, c'est-à-dire
la quantité de l'univers manipulé par l'homme, qui
représente la "production" ou les biens terrestres,
est aussi une dimension de l'homme et est justiciable des mêmes
observations que les autres aspects de l'univers humain.
Recouvrant
donc sous le terme de gâteau les biens terrestres ou la
production P, sa relation avec la capacité individuelle
de travail (CTIM) et la population au travail (PoTr) est donnée
par l'équation vue plus haut.
P
= K x (C TIM x PoTr)
Le
gâteau est d'autant plus grand qu'il y a plus d'hommes qui
travaillent et que la valeur individuelle de chacun (complexe
intelligence capacité de travail) est plus grande.
On
sait que la population active n'est qu'une partie de la population
totale, qui comprend en outre la population jeune qui deviendra
active, et la population âgée qui sort de la production.
C'est la masse de biens produits par la partie active (et qui
est proportionnelle au travail et à l'intelligence de cette
partie active, selon la relation vue plus haut) qui est partagée
entre les individus de la totalité de la population, selon
la relation
P.T.
= P/PoT = K X (CTIM X PoTr)/PoT (Pl. = part individuelle, P =
production/PoT = population totale).
Ce
qui est divisé par (effectif de la population totale, ce
n'est pas une quantité fixe (avec les conclusions vues
plus haut) mais une quantité proportionnelle à l'effectif
de la population qui travaille (PoTr) et à la valeur de
ses membres et qui s'accroît donc avec ces deux facteurs.
En
d'autres termes, et c'est l'essentiel à retenir, la part
individuelle est d'autant plus grande que la valeur et le nombre
des gens qui travaille-nt sont plus élevés et que
la proportion des gens qui produisent dans une population est
plus grand.
L'analyse
des variations de ce rapport en fonction des variations démographiques
sera faite ultérieurement. Elle nécessite des notions
qui n'ont pas encore été exposées, notamment
les incidences démographico-économiques de l'investissement
et sans lesquelles on ne peut pas comprendre.
Disons
seulement que le malthusianisme en détruisant la partie
productrice de la population, entraîne, après un
avantage passager et à discuter (avantages et inconvénients
du sous-investissement), une baisse de la capacité productrice
de la société qu'il touche, une baisse des moyens
économiques globaux de cette société, et
une abaisse de la part individuelle, la partie âgée
de la population augmentant sa proportion d'autànt plus
que le malthusianisme est plus important, et pouvant être
encore augmentée par sa variation propre.
L'essentiel,
à ce stade de la discussion, était de montrer qu'il
y a tore relation entre l'homme et les biens dont il peut disposer
et que cette relation est le travail humain, le mot travail étant
bien entendu pris dans son acception la plus large. L'essentiel
était aussi de montrer encore que la quantité des
biens dont il peut se rendre maître n'est pas fixe, mais
variable, et proportionnelle précisément :à
son activité de travail. Il fallait briser cette nation
radicalement fausse de fixité de la quantité de
biens que l'homme contrôle. Si elle était vraie ceci
voudrait dire que les hommes de 1973 n'ont pas plus de biens matériels
et énergétiques à leur disposition qu'au
Moyen Age ou aux temps bibliques. Mieux encore ceci voudrait dire
que par exemple la population de la France de 1973 étant
environ 3 fois ce qu'elle était au Moyen Age, la quantité
de biens globale étant fixe, le niveau de vie du Français
de 1973 est 3 fois plus faible que son niveau de vie du Moyen
Age. C'est oui ou c'est non. Au lecteur de répondre !
C'est
l'influence prise dans l'opinion et la presse par ces idées
et les hommes qui les secrètent qui conduit le Gouvernement
à vouloir autoriser les femmes à faire couper leurs
enfants en morceaux ou à les faire réduire en bouillie
(méthode Karman) par les avorteurs et à vouloir
les subventionner pour cela financièrement (projet M.T.P.).
Le
crime c'est trop. Le crime, autorisé, aidé, subventionné,
c'est un comble ! Et commandé en outre par (erreur et l'absurdité,
c'est vraiment un sommet dans le genre !
(1)
Définition
(2)
Là encore il ne s'agit pas d'une notion intellectualiste.
Tout le monde sait qu'il y a des choses que l'on connaît
et des chocs que l'on ne connait pas et qu'il y a des choses au-delà
de celle qu'on voit. L'Univers réal est la totalité
des choses connues et inconnues, l'Univers humain n'étant
que les choses connues de l'homme.
E.
TREMBLAY
© Laissez-les-Vivre
SOS Futures Mères, décembre 1973
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