Les difficultés rencontrées par les sodomites pour étaler leurs revendications ont leur contrepartie, et les vigoureuses prises de positions du chef de l’Etat en faveur d’une reprises de la natalité et des valeurs familiales ne sont pas isolées.

C’est ainsi que, dans le but de « promouvoir les valeurs morales de notre société, notamment auprès des jeunes, et d’améliorer ainsi la situation démographique dans le pays », et placé sous la haute bénédiction du patriarche de Moscou, Alexis II, se déroulera, du 23 au 28 octobre prochain, dans la ville de Kalouga, un festival du film pour enfants et pour famille, présentant des productions de plusieurs pays (Russie, Biélorussie, Tchéquie, Pologne, Norvège, Italie).

Plusieurs parties sont prévues, avec la présentations de longs métrages et de spots publicitaires à caractère social ainsi qu’une rétrospective de contes de fées.

« La société est enfin prête à renouer avec les valeurs morales. L’époque du nihilisme et de la négation du bien semble révolue. Tout le monde comprend aujourd’hui que notre salut est dans l’assainissement moral  », a déclaré le gouverneur de la région.

Novopress vous invite à participer à la marche contre l'avortement qui se déroulera le samedi 1er juillet dans Timisoara.

Les organisateurs principaux sont membres de l'association pro-vie "Darul Vietii" (Oui à la Vie).

Lieu du rendez-vous : en face des églises en construction entre les 2 jardins publics (zone Balescu) dans Timisoara
Jour : samedi 1er juillet
Heure : 9 h 15 du matin

« LA FOI SANS LES ŒUVRES C'EST LA MORT »

(Tu ne peux pas être chrétien si tu es pour l'avortement !)

Source : Novopress Roumanie
http://ro.novopress.info/?p=1483

Les médias internationaux ont remarqué les propos ouvertement natalistes qu’a tenus le président Poutine dans son récent discours de printemps. « L’amour, les femmes, les enfants – a déclaré le président – le problème le plus grave qui se pose à notre pays ». Dénonciation, comme un danger d’importance nationale, d’une natalité trop basse, annonce de mesures d’encouragement aux familles, appel aux valeurs fondatrices de la nation etc., tout cela ne pouvait évidemment qu’être traité avec condescendance en république française où le seul et unique objectif des dirigeants semble être la ruine publique, l’abaissement de la nation et la paupérisation des habitants.

La situation démographique de la Russie reste extrêmement menacée, avec une diminution annuelle de 700 000 personnes ; mais, sur le terrain, avec l’appui marqué de l’Église nationale, l’avortement connaît une baisse spectaculaire. Donnés en mars dernier par le centre russe d’études démographiques, les chiffres officiels sont les suivants : de 114 avortements sur 1 000 grossesses en 1990, le nombre a chuté à 45 sur 1 000. Par rapport au nombre de naissances, les chiffres passent de 206 avortements pour 100 naissances, à 122 pour 100.

Il y a encore bien du chemin à faire, et la situation, même ayant commencé à s’améliorer de façon visible, ne peut que continuer à se dégrader pendant un certain temps. Selon une enquête, les couples russes souhaitent maintenant avoir deux ou trois enfants, et la hausse générale du niveau de vie et surtout les espérances d’avenir politique que fait naître l’attitude du gouvernement sont de fermes encouragements.

Pour l’immédiat, le président a annoncé un certain nombre de mesures, parmi lesquelles la multiplication par deux de l’allocation de naissance et le versement de 40 % de leur ancien salaire aux futures mères.

Merci aux évêques polonais ! À propos de la résolution du parlement européen, en date du 18 janvier, déplorant que, dans certains États membres, les partenaires sodomites ou lesbiennes ne bénéficient pas des mêmes droits que les couples composés d’un homme et d’une femme, ils ont déclaré que cet appel « à mettre sur un pied d’égalité les liaisons entre les personnes de même sexe et le mariage enfreint les bases des lois de la nature ».

Nous apprécions que, prenant au sérieux leur mission de defensores civitatis, des évêques rappellent ainsi au respect des règles invariables de la vie de la Cité. Ces règles sont, en effet, le préalable indispensables à la capacité de la religion de faire passer l’homme, selon sa vocation, de la nature à la surnature.

En République tchèque, le président a annoncé qu’il ne ratifierait pas la loi récemment votée par les deux chambres donnant un statut aux couples homosexuels.

En Russie, le porte parole de la mairie de la capitale a parlé de la "Gay Pride" prévue le 27 mai, comme d’une incongruité. « Le gouvernement de Moscou – a-t-il déclaré – n’examinera même pas la demande d’autorisation. » Le grand mufti local est allé plus loin, en disant que si les homosexuels descendent dans la rue « il faudra les rosser. Tous les gens normaux le feront », a-t-il conclu.

Dans sa dernière conférence de presse, le président Poutine a abordé le problème de la natalité dans son pays, où l’on sait, qu’à l’époque communiste, l’avortement atteignait des proportions vertigineuses. Par la suite, avec l’engagement militant de l’Église russe et diverses incitations psychologiques et matérielles en faveur de la famille, celui-ci avait significativement reculé, mais sans pouvoir, en raison d’un taux de mortalité élevé, pouvoir inverser radicalement la tendance à la baisse démographique, que le premier vice-président de la Douma a qualifiée de « l’un des problèmes les plus graves de la Russie ».

Poutine a reconnu que le taux de mortalité l’emportait encore sur le taux de natalité, mais il a ajouté : « Pourtant, une tendance à l’accroissement de la natalité s’est dessinée au cours de ces deux dernières années. C’est une très bonne tendance pour le pays et pour l’État. »

Il s’est félicité des mesures incitatives déjà prises pour aider les familles et favoriser la maternité, les disant cependant « insuffisantes mais accomplies dans la bonne direction ». Le parti présidentiel a proposé de mettre en œuvre un programme dénommé « Enfant de Russie », prévoyant un soutien social aussi bien à la génération montante qu’aux futures mères.

Evoquée par certains, l’hypothèse d’un impôt pour absence d’enfants, ne semble pas devoir être retenue.