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POLITIQUE
FAMILIALE |
UN
COMMUNIQUÉ DE L'U.F.E. |
[08/12/2006] |
COMMUNIQUÉ
DE L'U.F.E.
Union
des Familles en Europe 2 décembre 2006
Communiqué de presse
L’instauration
d’un salaire du parent au foyer
répond à une réelle attente |
Dans
un sondage IFOP pour « Valeurs Actuelles », 83 % des
électeurs de droite se déclarent en faveur d’un
salaire du parent au foyer.
L’UFE
a mené sa propre enquête auprès de familles
de toutes les sensibilités et parvient à des résultats
semblables : 73 % des parents souhaitent l’instauration
d’un salaire pour le parent au foyer dès l’arrivée
du premier enfant. 88 % le demandent à partir de trois
enfants. Cette revendication est d’égale intensité
entre les sexes.
Alors
que le discours politiquement correct limite le débat familial
aux problèmes de conciliation enfants / métier,
l’UFE a osé demander à 550 parents internautes
s’ils souhaitaient ou non la création d’un
salaire du parent au foyer. Leur réponse est éloquente
:
–
73 % des parents sont favorables à l’instauration
d’un salaire pour le parent au foyer dès l’arrivée
du premier enfant. L’idée fait un tabac chez les
ouvriers et employés (79 % pour), et chez les jeunes couples
(86 % des moins de 30 ans sont pour)
–
La demande est encore plus forte pour un salaire à partir
du 3ième enfant : 88 % d’opinions favorables. Les
moins convaincues sont les femmes de plus de 60 ans (62 % de «
pour » seulement) … première vague féministe
ou ranc?ur d’avoir dû se débrouiller sans ?
Et
si cette mesure était nécessaire pour que les familles
aient autant d’enfants qu’elles le désirent
?
Pour
l’UFE, une politique vigoureuse de création de crèches
et autres modes de garde est indispensable car elle correspond
à la demande des celles qui veulent exercer leur métier
tout en ayant 2 ou 3 enfants.
Mais
cette politique ne répond pas aux besoins de ceux qui désirent
une famille plus nombreuse : avec 5 enfants, qui est capable d’assumer
50 heures hebdomadaire de tâches domestiques et éducatives
en plus de 35 heures au bureau ? Qui peut se permettre de vivre
sur un seul salaire avec tant de charges ? Et qui va prendre le
risque de finir ses jours avec une retraite croupion ? caar tel
est le sort des parents au foyer, élevant des enfants qui
paieront la retraite des autres ?
Or,
l’équilibre démographique suppose précisément
que 15 % au moins des familles mettent au monde 4 enfants et plus
(les familles de 3 enfants ne suffisent pas à compenser
celles qui n’en ont pas, qui n’en ont qu’un,
non plus que les décès avant l’âge adulte)
Pour
que ces familles vivent (juste) décemment, il faut leur
faut donc un revenu supplémentaire.
Dès
lors, l’UFE demande la création d’un salaire
parental. Versé dès le 1ier enfant, il coûterait
14 milliards d’?. Aussi, dans un premier temps, il serait
raisoonnable de ne le verser qu’à compter du 3ième
enfant. Son coût (5 milliards) est tout à fait finançable
si les pouvoirs publics veulent bien cesser de mettre artificiellement
en déficit la branche famille de la Sécurité
Sociale
Retour
du conservatisme ? Ce serait une erreur de le croire : au travers
de ces deux sondages, les parents disent simplement ceci : élever
ses enfants a de la valeur, au point que cela mérite un
salaire. Ils posent une question parfaitement taboue : au nom
de quoi le travail domestique et éducatif ne serait-il
pas un vrai travail, profitable à la société
? Parce qu’il est très largement effectué
par les femmes ?
Les
parents interrogés par l’UFE ne disent pas que «
la place des femmes est au foyer ». Mais ils n’adhérent
pas non plus au paternalisme actuel qui veut que les femmes soient
obligées « pour leur bien » de cumuler travail
professionnel et enfants.
A
l’aube du XXIième siècle, l’UFE demande
qu’on ait la maturité d’admettre que toutes
les femmes ne sont pas bâties sur le même modèle
et qu’on permette à celles (ou ceux) qui veulent
de consacrer à plein temps au « plus beau métier
du monde » de le faire dans des conditions décentes.
http://www.uniondesfamilles.org
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JEUNES
PARENTS FRANÇAIS EN
SITUATION DE PRÉCARITÉ |
[07/11/2006] |
Faute
d’un logement décent et menacés pour cette
raison qu’on leur enlève, dès sa naissance,
le petit garçon attendu, Anne et Philippe, vivent dans
une précarité effrayante.
Sur
un terrain, une maison en ruine, une tente à peine imperméable,
une vieille voiture. « Les services sociaux nous ont
déjà prévenus que le bébé ne
pourrait pas vivre ici – explique Philippe à
Paris-Normandie – Mais pas question qu’on
nous l’enlève. »
En
attente de logement depuis longtemps, Philippe est frappé
par la disproportion entre l’insignifiance des moyens mis
par les pouvoirs publics à la disposition de son couple,
et l’énormité de ceux déployés
à chaque fois au profit de certaines autres catégories
de personnes. Avec amertume, il commente : « On n’est
pas des S.D.F., on n’est pas des expulsés de Cachan,
on n’est pas des réfugiés politiques. En fait,
on n’est rien. On n’existe pas. »
La
culture de mort est tout entière dans cette analyse de
Philippe. Pour la république, les Français ne comptent
pas.
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EVELYNE
SULLEROT POURSUIT SON CHEMIN
VERS LA CULTURE DE VIE |
[13/07/2006] |
Cofondatrice
du Planning familial en 1956, Evelyne Sullerot
en est arrivée peu à peu à déplorer
les excès où l’on en est arrivé, en
particulier la généralisation de l’avortement
et la disparition du père, et est devenue sans indulgence
pour ses successeurs.
A
l’occasion de la publication de son dernier livre, elle
tient à remettre les points sur les i.
«
Nous voulions libérer et responsabiliser les femmes,
et favoriser l’harmonie dans les couples et la famille
– explique-t-elle dans Valeurs Actuelles (23 juin
2006) – Je n’ai pas supporté ce dérapage
vers la guerre des sexes entraînant la négation du
couple et l’élimination des pères. Les féministes
sont allées trop loin, elles se sont construites dans la
haine et la victimologie. Elles ne parlaient que de leur volonté
d’avorter. "Mon ventre est à moi", disaient-elles.
Pour moi, la contraception était le remède contre
le mal qu’était l’avortement. J’étais
contre le fait d’en faire un droit. En faire une possibilité,
un dernier recours à aménager de façon humaine,
mais pas une contraception bis, pas un droit à détruire.
N’est-ce pas effrayant de voir qu’il y a chaque année
215.000 avortements en France ? »
Nous
restons en désaccord fondamental avec Evelyne Sullerot
sur le principe même de la contraception et son idéalisation
de l’avortement.
Mais ses regrets sont une preuve a posteriori que la société
ne franchit pas impunément certaines bornes, car, n’en
déplaise à nos petits constructivistes, la nature
tire automatiquement les conséquences de la démesure
des hommes et, depuis Evelyne Sullerot, il y en a eu bien d’autres.
A
propos du père, elle oppose aussi le droit à l’enfant
aux droit de l’enfant. « Depuis les années
1960 – dit-elle – on est dans la revendication
permanente du droit à l’enfant, avec tous les excès
que l’on sait, des mères célibataires aux
couples homosexuels. » Mais, contre ces pratiques,
la révolution génétique va redonner un sens
à la filiation, et c’est le « couple parental
biologique » qui subsiste. « Les enfants ne tarderont
pas à demander que leur soit reconnu à tous, adoptés
ou nés sous X, le droit de connaître leurs origines.
Et la réintroduction de la fonction paternelle profitera
aussi de cette reconnaissance. »
Là
aussi, c’est la nature qui, profitant des abus de l’homme,
et contre la volonté des idéologues, reprend irrémédiablement
ses droits.
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« SOLIDARITÉ
À SENS UNIQUE POUR LA
GÉNÉRATION CHOUCHOU » |
[07/07/2006] |
Union
des Familles en Europe
3 juillet 2006
Solidarité
à sens unique pour la génération CHOUCHOU
Alors
que les familles tirent le diable par la queue lorsque les enfants
grandissent, alors que les prestations familiales s’arrêtent
au moment où les jeunes coûtent le plus cher et tardent
à prendre leur envol ? on dévoie la cconférence
de la famille au profit des retraités.
La
Conférence de la Famille est consacrée, cette année
à la génération CHOUCHOU, celle des 55 /
70 ans.
La
génération qui a :
–
bénéficié des généreuses prestations
familiales des années 60/80
–
laissé ses propres parents vivre de misérables retraites
–
qui s’est assuré, pour elle-même, de confortables
pensions
–
dont le niveau de vie est le plus élevé de toutes
les classes d’âge,
–
et qui est encore en bonne santé, grâce à
des soins de qualité
Que
cette génération aide un peu les autres (et particulièrement
ses parents) n’est rien que de très normal. Faut-il
lui offrir de nouveauxsoutiens financiers ?
–
Depuis 20 ans, les sommes consacrées aux familles ont été
amputées de plus de 9 Md?
–
Depuis 20 ans, les sommes allouées aux personnes âgées
ont augmenté de plus de 38 Md?. Il y a cinq jours, on annonçait
encore un « plan grand âge » avec 2,6 milliards
de dépenses supplémentaires !
En
20 ans, le niveau de vie des personnes âgées est
devenu supérieur à celui des actifs. Il est supérieur
de 9,1 % à celui des moins de 30 ans. Les jeunes (20-25
ans), en revanche, ont été abandonnés à
leur sort par les pouvoirs publics depuis de nombreuses années.
Depuis
20 ans, les familles doivent se contenter de fausses promesses
et de vraies économies.
Depuis
20 ans, les jeunes se sont précarisés. Seules, leurs
familles les tiennent la tête hors de l’eau. L’Etat
ne fait rien pour les aider : les prestations familiales cessent
à 20 ans, au moment où les enfants coûtent
le plus cher.
La
conférence de la famille 2001 qui devait être consacrée
aux jeunes n’a pas traité le sujet ? faute d’argent,
alors qu’on mettait en place une coûteuse «
Allocation Personnalisée d’Autonomie » (APA)
destinée à décharger les 55 / 70 ans du coût
de la dépendance de leurs propres parents.
Pourtant,
le problème de la dépendance pourrait être
traité sans peser sur les actifs (une cotisation de 2,5
% des retraites suffirait). Ce qui permettrait de venir en aide
aux jeunes et à leurs familles.
Une
fois de plus la génération chouchou s’en met
plein les poches, au risque d’une explosion des jeunes,
comme celle occasionnée par le CPE.
L’Union
des Familles en Europe réclame le prolongement des prestations
familiales jusqu’à 22 ans et la fin du favoritisme
électoral des pouvoirs publics.
www.uniondesfamilles.org
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 |
LÉGITIMES
CRAINTES CATHOLIQUES |
[30/06/2006] |
A
quelques jours du voyage du pape en Espagne, pour la clôture
du rassemblement mondial des familles, le 9 juillet, le cardinal
Lopez-Trujillo, président du Conseil pontifical
pour la famille s’inquiète : « les législations
et une large partie de la culture laïque –dit-il
– sont en train de démanteler la famille pièce
par pièce. » Et citant l’Espagne, pays
particulièrement avancée dans les mesures de destruction
de la société, la Belgique, les Pays-Bas, les pays
scandinaves et la France, qui ont légalisé sous
diverses formes, les unions entre sodomites et lesbiennes, le
cardinal exprime ses craintes : « Nous craignons que,
face aux législations actuelles, parler pour défendre
la vie et les droits de la famille devienne dans certaines sociétés
une sorte de crime contre l’Etat, une forme de désobéissance
au gouvernement. (…) Si le débat se faisait
plus tendu, si l’on écoutait les demandes les plus
radicales, l’Eglise risquerait d’être traînée
devant une cour internationale. »
Cette
crainte n’est pas chimérique. Les prémisses
existent dans de nombreux pays, et particulièrement en
France. Dès l’argumentaire des personnes favorables
à la légalisation d’un "mariage"
entre sodomites ou entre lesbiennes, nous avons annoncé
comme inévitable des procès pour discrimination
contre les prêtres qui refuseraient de célébrer
religieusement de telles unions.
Répétons-le.
La culture de mort est indivisible ! Et on ne lutte efficacement
contre elle qu’en s’opposant à la totalité
du courant idéologique qui la porte.
|
 |
«
MINABLE CARTE FAMILLE NOMBREUSE ? » |
[26/05/2006] |
Communiqué
de presse du 16 mai 2006
Le
relookage annoncé de la Carte Famille nombreuse est pure
illusion. 300 000 familles attendaient qu’elle soit étendue
aux jeunes de 18 à 21 ans, comme c’était le
cas en ? 1921.
C’est
sans vergogne que le Ministre de la Famille vient d’annoncer
que la carte Famille Nombreuse allait cesser d’être
seulement une carte SNCF et s’étendre désormais
à d’autres avantages ? le hic, c’est que c’est
déjà lle cas depuis 85 ans !!!
Créée
par une loi du 29 octobre 1921, au même moment que la Fête
des Mères et la Médaille de la Famille, la Carte
Famille Nombreuse permettait, dés l’origine, de bénéficier
de réductions plus larges que le simple transport ferroviaire
: ainsi les familles nombreuses ayant 3 enfants mineurs ou davantage
avaient droit à 50 % dans tous les Musées d’Etat
et à des réductions dans les thermes d’Etat.
Très
rapidement, les entreprises, qui y ont vu le moyen d’attirer
de la clientèle, accordèrent des avantages commerciaux.
Ces avantages n’ont pas disparu. On les trouve notamment
dans le secteur de la chaussure et de l’habillement.
Il
n’y a donc rien de nouveau sous le soleil !
Ce
qui a changé, c’est que depuis 1921, la majorité
légale est passée de 21 ans à 18 ans de sorte
que les familles nombreuses profitent des avantages accordés
pendant 3 ans de moins qu’autrefois.
Et ce alors qu’en 2006, les enfants sont encore à charge
de leurs parents à 21 ans ? quant en 1921,, les enfants de
15 ans avaient, pour la plupart, déjà pris leur envol.
Conclusion
: pour améliorer sa « nouvelle carte », le
Ministre de la famille n’a même pas été
capable d’obtenir qu’elle soit accordée au-delà
de 18 ans ! 300 000 familles l’attendaient pourtant.
L’Union
des Familles en Europe en a un peu assez qu’on prenne les
familles pour des imbéciles.
www.uniondesfamilles.org
|
 |
FAMILLE
ET LIBERTÉ |
[14/04/2006] |
Famille
et Liberté
Famille
et Liberté a pour objet de rendre publiques des informations
sur la situation des familles et sur les conséquences qui
en découlent pour la société.
Notre objectif est d’établir (ou de rétablir)
:
1. l’équité
économique, en transformant le système d’allocations
familiales et d’abattements fiscaux, de sorte qu’il
n’apparaisse plus comme une charité envers les familles
mais comme la juste contrepartie de leur contribution essentielle
au dynamisme de l’économie et à l’équilibre
du système de retraites,
2. le libre choix des
parents entre un travail salarié et l’éducation
de leurs enfants,
3. la protection de
la jeunesse contre un certain nombre d’agressions (pornographie,
drogue, Sida) contre lesquelles elle n’est pas suffisamment
prévenue.
Sur l’ensemble
de ces sujets, nous estimons que le langage des médias
et des politiques est biaisé. Notre intention est de nous
adresser directement à l’ensemble des citoyens et,
sur des points spécifiques, à ceux qui ont à
les connaître par leur profession.
Pour
en savoir plus
http://fr.novopress.info/?p=4832
|
 |
NOTRE
POISSON D'AVRIL 2006 |
[01/04/2006] |
NOTRE
POISSON D'AVRIL 2006 !

Apparemment,
et c’est heureux, plus personne ne se laisse prendre
aux poissons d’avril laissant entendre que Chirac
pourrait un jour envisager de conduire une politique ouverte
sur la culture de vie, donc favorisant l’institution
familiale ; plus généralement, une politique
conforme au bien commun de la Cité, c’est-à-dire
uniquement préoccupée de l’intérêt
de la France et des Français. Dans le processus
de paupérisation générale actuellement
enclenché, l’annonce d’une politique
nataliste pourrait effectivement soulever quelques espoirs.
Non
! Ni lui, ni ses petits camarades, enfermés dans
leur abstraction idéologique malthusienne et mondialiste,
obsédés par les avantages matériels
qu’ils tirent de l’exercice du pouvoir, n’ont
la moindre conscience de ce que la Cité attend
d’eux.
Le
texte publié n’en est cependant pas moins
exact. Mais il correspond à la phase électorale
de 1995 où, ayant besoin de s’attirer les
faveurs de l’électorat de "droite"
pour se hisser à la première place de la
république, le personnage ne reculait devant aucun
mensonge. Mission réussie puisque, de palinodie
en palinodie, cela fait déjà 11 ans qu’il
jouit des effets de sa duplicité… et que
la culture de vie a été de plus en plus
exclue de la vie publique.
Il
s’agit d’un passage du discours prononcé
au grand rassemblement de la Porte de Versailles, le 17 février 1995.
|
LE
TEMPS DE LA CLAIRVOYANCE ?
Face
aux diverses "fractures" qui, depuis plusieurs
décennies, minent la cohésion de la société
française, le président de la république,
qui rendait visite hier au Conseil économique et
social, a fait une déclaration surprenante par sa
clairvoyance.
On
peut en espérer un changement de cap de la politique
actuellement en cours, en particulier dans le domaine de
la protection de la vie et de la défense de la famille.
En attendant la publication de l’ensemble de l’intervention
du chef de l’État, en voici le passage le plus
significatif :
« La solidarité ne se conçoit pas
sans une politique ambitieuse de la famille.
Parce que la famille est le premier rempart contre l’exclusion,
le premier cercle de la solidarité, le creuset où
se transmettent de génération en génération
les valeurs qui forment l’identité de la Nation.
Parce que l’on ne peut se résigner à
la chute de notre natalité, qui fait peser une lourde
menace sur l’équilibre de nos comptes sociaux
et, à terme, sur le dynamisme de notre pays.
» |
|
 |
ENFANTS
ET PAUVRETÉ |
[17/02/2006] |
Selon
l’Union des familles en Europe, « sur
les deux millions d’enfants pauvres que compte la France,
l’Etat a ses bons pauvres, telles les familles monoparentales,
et ses mauvais pauvres, les couples avec plus de trois enfants. »
En
termes de niveau de vie, la république a en effet ramené
le montant des prestations pour une famille de trois enfants,
de 769 "euros" par mois, calculés en 1954, à
403 "euros" par mois en 2004. La suppression de l’allocation
de salaire unique a également porté un coup très
dur aux familles.
On
sait comment, par une application extensive de l’allocation
de parent isolé, et par la transformation des allocations
familiales en une pure aide sociale, les familles étrangères
sont relativement moins atteintes par cette paupérisation.
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