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RÉFÉRENDUM SUISSE : UN EXEMPLE
POUR LA FRANCE

[07/11/2006]

On a déjà remarqué la forte majorité par laquelle la souveraineté populaire suisse avait désavoué la gauche immigrationniste et ses alliés de droite : toutes les conditions d’accueil aux immigrés ont été durcies. A Genève même, le Haut commissariat aux réfugiés des Nations unies s’est dit « préoccupé », « très déçu » des résultats du scrutin.

Mais un autre élément de la votation n’a pas été suffisamment mis en valeur, et il intéresse autant que le premier la défense de la culture de vie. Le parti socialiste suisse avait fait soumettre une disposition qui aurait contraint la banque nationale à verser une partie de ses bénéfices pour contribuer au financement des fonds de retraites mis en péril par le non renouvellement des générations.

Cette disposition, totalement socialiste dans son esprit et économiquement catastrophique, a été elle aussi repoussée. Il s’agissait clairement d’un détournement de fonds. Un système de protection sociale et de retraites qui ne parvient pas à équilibrer cotisations et prestations montre simplement qu’il est ou mauvais ou mal géré ou, comme c’est le cas en France, les deux à la fois. Il relève de l’acharnement thérapeutique de prétendre l’alimenter coûte que coûte par des voies extérieures. S’il y a une euthanasie dont, en France, la culture de vie se porterait bien, c’est celle de tout le système de protection sociale mis en place dans la grande folie gaullo-communiste d’après-guerre.

Michel de Poncins analyse de la façon suivante la situation ainsi créée : « Le premier effet négatif fut la stérilisation d’immenses capitaux. De tous temps les hommes épargnaient pour le jour où la maladie interviendrait et ces épargnes contribuaient à la richesse générale. Quand la Sécu fut rendue obligatoire, elle obligea tout le monde à cotiser dans son immense gouffre, ce qui tua l’épargne et la richesse future qu’elle devait générer, avec notamment le jeux fabuleux des intérêts composés. Quelle est aujourd’hui la richesse manquante et quels sont les gigantesques capitaux qui ne sont pas nés ? Difficile à calculer. L’on observe seulement que ce manque tragique est une composante majeure du désastre français et de la paupérisation de la nation. »

La vérité commencerait-elle à se faire jour ? D’après un sondage du journal gratuit Economie Matin du 23 octobre, parmi d’autres résultats moins encourageants, on lit qu’un Français sur deux ne croit plus à l’État-Providence, la proportion montant à 62 % en faveur de l’alignement des retraites du secteur public sur le régime général. Mais, pour que chacun retrouve sa liberté, et pour que s’établisse l’égalité, encore faudrait-il contraindre l’État à renoncer à ses pratiques spoliatrices plus que mi-centenaires.


RÉFÉRENDUM SUR L'AVORTEMENT
[06/10/2006]

La démocratie est une belle chose ! Mais ceux qui l’ont inventée pour imposer l’idéologie de mort, ont fréquemment des déconvenues qui les obligent à la mettre entre parenthèse, ce qui apparemment ne trouble ni eux-mêmes, ni les sourcilleux dénonciateurs de l’absence de démocratie … ailleurs.

On peut donc dire, en toute vérité, que l’exercice de la souveraineté du peuple n’est qu’un mécanisme d’enregistrement de ce qui a été décidé préalablement en dehors de cette souveraineté.

Il en ira donc au Portugal, concernant l’avortement, comme il en était allé au Danemark et en Irlande concernant l’intégration européenne. Les peuples souverains de ces deux pays s’exprimant par référendum ayant, sur deux points différents, rejeté les propositions européistes qui leur étaient faites, se sont vus, après sérieuse reprise en mains de l’opinion, appelés à voter une seconde fois. Nul doute que si le second vote n’avait pas désavoué le premier, un troisième vote aurait été organisé, ou, comme ce qui va se produire en France, les conséquences normales du vote populaire (nous sommes supposés être en démocratie) aurait été annulées par la procédure parlementaire.

A noter que, dans les pays où, comme l’Espagne et le Luxembourg, le référendum populaire a adopté d’emblée les propositions européistes, il n’a jamais été question de procéder à un deuxième vote.

Le peuple portugais qui, en 1998, a voté contre la dépénalisation de l’avortement, devra revoter avant la fin de 2006. Là encore, la pression tous azimut de l’Union européenne et l’instrumentalisation médiatique de quelques cas nationaux est supposée avoir retourné l’électorat et, raisonnablement, on ne voit pas ce qui pourrait, cette fois-ci, sauver le Portugal et les Portugais, de la politique de mort. Et, cette fois-ci, on est sûr que le résultat du vote populaire sera considéré comme acquis.

Il faut s’attendre à la même simagrée pour l’Irlande, qui, au sujet de l’avortement, est aussi très en retrait de l’idéologie "européenne".

Aux États-Unis, le Dakota du Sud qui, en mars dernier, s’est donné par la voie parlementaire une législation totalement prohibitive en matière d’avortement, va devoir recourir au référendum, ce qui, en l’occurrence, est parfaitement conforme à la loi locale, semblable, sur ce point, à la loi suisse. À préciser qu’en Suisse, ce qui est logique dans une vraie démocratie, les décisions référendaires s’imposent, au besoin contre celles venues du parlement, puisque c’est dans le peuple qu’est supposée résider la souveraineté, les élus n’étant que des mandataires. Dans le Dakota du sud, les partisans de l’avortement ont, en effet, réuni suffisamment de signatures pour contraindre l’État à soumettre la question de l’avortement à l’occasion des élections législatives de novembre.

Comme ces mêmes élections verront aussi poser la question de l’interdiction du mariage homosexuel, cela promet du sport.


UNE AFFAIRE ABSOLUMENT TERRIFIANTE... [29/09/2006]

Il s'agit d'une affaire absolument terrifiante qui peut tous
nous rejoindre à un moment de notre vie. Cette information donnée par le Catholic Herald du 18 août dernier est passée inaperçue en France. Les faits sont les suivants. M. Leslie Burke, 46 ans, citoyen anglais, catholique convaincu, a mené un dur combat judiciaire de 3 ans contre le Conseil Général Médical ­ l'équivalent de notre Direction des Affaires sanitaires et sociales. Il est atteint d'une maladie dégénérative du nom d'ataxie de
Friedsreich qui se traduit par une paralysie progressive. Il est actuellement en fauteuil roulant et sent venir la mort. Il demandait la
chose suivante. Quand il perdra ses moyens de communiquer avec le monde qui l'entoure, il veut pouvoir continuer à bénéficier des soins ordinaires que sont l'alimentation par perfusion ainsi que l'hydratation. Or la Cour d'Appel de Lancaster où il réside a rejeté sa demande. Elle a écrit dans ses conclusions qu'il appartenait aux médecins de décider l'arrêt de tels soins "in the patient best interest" c'est-à-dire dans l'intérêt du patient.

Sous-entendu, bien sûr que l'intérêt du patient était effectivement de le
laisser mourir de faim et de soif. Burke s'est alors tourné vers la Cour
européenne du Justice. Laquelle a rendu sa décision le mercredi 16 août.
Laquelle confirmait le jugement du tribunal anglais. Estimant que certes la vie devait être prolongée le plus longtemps possible mais qu'il était
impossible de faire appel à la Haute Cour de Justice à chaque fois que les médecins auraient à décider de mettre fin à une vie qu'ils considéraient comme un fardeau : le mot utilisé est burdensome qui signifie "pénible" ou "pesant". La conclusion est donnée par M. Burke lui-même : « Si je ne suis plus capable d'exprimer mes souhaits, désormais les médecins si cela leur convient, peuvent me retirer la nourriture et l'eau sans que personne ne leur demande. Ils n'ont plus besoin de la permission de quiconque ». Et des médecins qu'il ne connaît pas peuvent bien estimer qu'il est "unworth living" (dit-il), c'est-à-dire que sa vie est sans valeur.

Cette affaire est à rapprocher de celle de Terry Schiavo cette handicapée américaine que les juges ont condamnée à mourir de faim et de soif.

Ce jugement fera désormais jurisprudence dans toute l'Europe. Il ne s'agit plus seulement de légaliser l'euthanasie à la demande des malades,
mais de l'infliger en fonction de l'humeur ou des dispositions du corps
médical. Le pouvoir médical après avoir acquis le droit de vie ou de mort
sur les enfants non-nés a désormais le droit de laisser mourir les malades s'il estime que leurs vies est burdensome, c'est-à-dire "pénible". À terme, ce sera le nettoyage par le vide des hôpitaux surchargés. Or chacun d'entre nous peut demain être hospitalisé. Et personne n'est à l'abri de voir estimer comme Hitler l'avait écrit que « certaines vies ne valent plus la peine d'être vécues ».


Dr. Jean-Pierre Dickès
Président de l'A.C.I.M.


REQUÊTE EN PARITÉ AUX INDES [01/09/2006]

Le 15 août, à l’occasion de la « fête de l’indépendance », le premier ministre indien a demandé à ses compatriotes de mettre fin au « fœticide féminin », dont la pratique, cependant illégale, a privé le pays de dix millions de femmes en vingt ans.

En république française, jusqu’à preuve du contraire, la parité est respectée et, à raison de 200 000 avortements par an depuis 1975 (estimation basse), c’est simplement quelque trois millions de petites filles que la loi Veil a permis de supprimer.


LES MOUVEMENTS PRO-VIE S'ORGANISENT
À L'ÉCHELON EUROPÉEN
[28/07/2006]

Comme prévu, un rassemblement s’est tenu ce 25 juillet 2006 devant le Palais de Justice de Bruxelles à l’occasion de la première journée européenne pour la Vie.

Dès 19h, à l’initiative de Civitas Belgique, un chapelet était récité en réparation du crime qu’est l’avortement. Cette récitation du chapelet était initialement prévue devant un centre de planning familial mais l’autorisation fut refusée par le bourgmestre de la Ville de Bruxelles qui, par contre, avait accepté que les fédérations de plannings familiaux tiennent précédemment une conférence de presse dans la salle des mariages de l’hôtel de Ville afin de proclamer leur opposition à cette journée européenne pour la Vie.

Ensuite, à 20h30, en présence de la télévision, de la radio et de divers photographes de presse, a débuté le meeting en plein air.
Ont successivement pris la parole M. Alain Escada, coordinateur du collectif Papa, Maman et Moi, le Docteur Dor, président de SOS Tout Petits, M. Grenouilleau, magistrat honoraire et organisateur du mouvement français “30 ans, ça suffit”, le Docteur Volff, président de l’Acpervie, M. André-Dumont, président de Pro Vita Belgique ainsi qu’une charmante jeune fille au nom de Jeunes Pour la Vie.

Il s’agira surtout de noter que cette première journée européenne pour la Vie veut servir de tremplin à la mise en place d’une stratégie commune de convergence d’action de différentes associations pro-vie d’Europe.

Il a d’abord été rappelé que nous assistons à une disparition de la distinction entre la notion de bien et de mal, de vérité et d’erreur et qu’une réaction efficace doit par conséquent commencer par rectifier ce problème moral sous-jacent.

Lutter contre l’avortement, c’est aussi lutter contre la pornographie et l’immoralité.
Lutter contre l’avortement, c’est entreprendre une croisade spirituelle.

Lutter contre l’avortement, c’est enfin développer une stratégie visant à ce que le réseau pro-vie tisse sa toile avec efficacité.
Pour ce faire, plusieurs axes ont été soulignés :

1) Développer l’aspect international du réseau et assurer le soutien mutuel aux manifestations et marches pour la Vie.

2) Faire du lobbying constant auprès des législateurs et régulièrement leur soumettre des propositions de loi à présenter.
Au niveau du parlement européen, entretenir régulièrement les contacts notamment avec les parlementaires des pays de l’Est, particulièrement sensibles à nos thèses.

3) Recourir aux tribunaux chaque fois qu’une opportunité se présente pour qu’un procès puisse servir à un changement de société et fournir des conseils juridiques aux amis de nos réseaux.

4) Exercer une pression permanente sur les médias (par mail, fax, courrier, téléphone), notamment pour obtenir des changements de politique éditoriale. Par exemple, au niveau du choix des mots. Cela peut sembler un détail mais il faut mettre fin à l’utilisation de l’expression absurde d’IVG qui vise à atténuer la réalité de l’avortement.

5) Influencer le monde de l’éducation, notamment par la mise en place et la coordination d’associations d’enseignants ainsi que par un travail régulier sur le terrain d’organisations d’étudiants.

6) Déborder d’activité, notamment vers les indécis, très nombreux en matière éthique, afin de convaincre la grande part de l’opinion publique.

7) Simultanément désamorcer les arguments d’ordre sentimental, émotionnel de nos adversaires. Les cas de figure de viols, certes très empreints de charge émotionnelle, ne représentent pas 0,01% des avortements pratiqués. Il faut aussi rappeler qu’il est tout de même curieux qu’une société qui refuse d’appliquer la peine de mort aux violeurs et criminels n’aie par contre aucun remord à éliminer quotidiennement des milliers d’innocents.
Lorsque le combat pro-vie sera redevenu un combat visible de tous les jours, il faut encourager spécialement les personnalités célèbres qui partagent nos convictions à le déclarer publiquement.

Il faut répéter sans cesse le message, partout, à temps et à contre-temps. Et créer ainsi un climat qui permette l’inversion du processus en cours.
Il n’y a pas qu’au Dakota du Sud que ce scénario est possible.

Preuve de l’utilité d’une telle journée européenne pour la Vie, le développement continu de son comité de soutien, comme on pourra s’en rendre compte ci-dessous.
Cela augure déjà que l’édition 2007 de cette journée européenne pour la Vie prendra une dimension grandissante.
D’autant que les contacts sont d’ores et déjà pris avec les organisations pro-vie anglo-saxonnes et germanophones afin de se joindre activement à cette initiative et d’y envoyer des délégations.

D’ici là, il reste à entreprendre avec enthousiasme la mise en application des huit points de stratégie commune.

(les photos de cette première journée européenne pour la Vie seront bientôt disponibles sur notre site internet)

Comité de soutien :

ACIM - Association Catholique des Infirmières, Médecins et professionnels de la santé (France)

Acpervie SOS Maternité (France)

Aide à l’Enfant asbl (Belgique)

Associaçào Portuguesa de Familias Numerosas (Portugal)

Baron d’Anethan, Ambassadeur honoraire de S.M. le Roi (Belgique)

België en Christenheid v.z.w. Belgique & Chrétienté asbl (Belgique)

Professeur Bernardin, maître de conférence à l’Université de Marseille (France)

S.A.R. Don Sixto Enrique de Borbon (Espagne)

Chrétienté en Bourgogne et Franche-Comté (France)

Centre d’Etudes sur la Reconnaissance de la Personne Humaine (France)

Dr Chasseur (Italie)

Chemin de Vie (Belgique)

Institut CIVITAS (France)

Civitas Belgique Civitas Belgïe

Cour d’Or (Belgique)

Comité pour Sauver l’Enfant à Naître (France)

Coordination pour la Vie en Saône et Loire (France)

Chanoine Michel Dangoisse, doyen du Chapitre cathédral de Namur (Belgique)

Dr André Devos, gynécologue (Belgique)

Dr J.P. Dickès, ancien expert auprès des Tribunaux, écrivain (France)

Dr Xavier Dor (France)

Dr Doublier-Villette, secrétaire de la Coordination internationale des Rosaires pour la Vie

Droit de Naître (France)

Doctor Esparza

Family Solidarity (Irlande)

Abbé Daniel Goens (Belgique)
Anne Gaêlle Gros, styliste (France)

M. Grenouilleau, magistrat honoraire (France)

Groupement des Electeurs Chrétiens (Belgique)

Professeur Maciej Marian Giertych, député européen, président de la délégation de la Ligue des Familles Polonaises au Parlement Européen, éminent généticien de l’Institut de dendrologie de l’Académie polonaise des Sciences (Pologne),

Jeunes Pour la Vie - Jongeren Voor het Leven (Belgique)

Professeur R. Jordens, docteur en philosophie (Belgique)

JURIVIE (Belgique)

Professeur Godeleine Lafargue, docteur en philosophie (France)

Docteur Pierre Goube de Laforest, Directeur de Recherches honoraire au C.N.R.S., Président du C.E.R.P.H. (France)

Laissez-les-vivre / SOS Futures Mères (France)

Fondation Lejeune

Ligne de Vie (Belgique)

Christophe Mahieu, Journaliste, historien, docteur en Histoire (France)

Jean-Pierre Maugendre, président de Renaissance Catholique (France)

Dr Joseph Mersch (Luxembourg)

Signora Laura Molteni, présidente de la Commission

des Affaires Sociales de la Ville de Milan (Italie)

Natural Family Planning - Vlaanderen (Belgique)

Oui à la Vie (Suisse)

Pélerins pour la Vie (Belgique)

Professeur Petit, maître de conférences à l’Université de Grenoble (France)

Pour la Vie Naissante (Luxembourg)

Réseau Philocité (France)

Dr Poli (Italie)

PRO VITA (Belgique)

Pro Vita Romania (Roumanie)

Marquis de Radigues (Belgique)

Renaissance Catholique (France)

Rivage (France)

Rosaire pour la Vie (France)

Yves de Seny, Sénateur Honoraire (Belgique)

SOS Tout Petits (France)

Abbé Gérard Trauchessec, I.C.R.S.P. (France)

Christian Vanneste, Député, professeur de philosophie (France)

Vérité et Espérance 3000 (Belgique)

Dr François Volff (France)

M. Gérald Wailliez, magistrat honoraire (Belgique)

UNEC - SOS Mamans (France)

Collectif Papa, Maman et Moi
Rue de la Cible 48 - 1030 Bruxelles
Tél : 02.503.55.21 - Fax : 02.734.80.55 - GSM : 0477.80.40.51
cpte 001-2322584-92 (adhésion : 25 euros)
pour les versements hors de Belgique :
BIC GEBABEBB / IBAN BE12 0012 3225 8492
http://users.belgacom.net/pmmvmi/


NOUVELLE RESTRICTION POSSIBLE À
L'AVORTEMENT AUX ÉTATS-UNIS
[21/07/2006]

En cause à nouveau devant la Cour suprême, la constitutionnalité de la loi fédérale interdisant, en 2003, après huit ans de réflexions et d’hésitations, l’avortement par naissance partielle, constitutionnalité qui a été dénoncée dans de nombreux États par les Cours d’appel.

Étant donné que la raison invoquée par le Congrès en faveur de cette interdiction ne concerne pas le droit à l’avortement, mais le fait que « l’avortement par naissance partielle n’est jamais nécessaire pour préserver la santé de la femme », la Cour suprême pourrait peut-être reconnaître la constitutionnalité de cette interdiction (ce qu’espèrent les mouvements pro-vie des États-Unis) sans mettre en cause le principe de la souveraineté législative des États qui, seule, permettrait le renversement de l’arrêt Roe v. Wade.

On voit que le problème posé aux grands juges n’est pas simple et qu’il ne s’agit pas de régler un problème particulier d’une façon qui rendrait plus difficile le règlement du problème général.

Quoiqu’il en soit, aux États-Unis actuellement, les indicateurs de tendance en sont plutôt à la protection de la vie.

Ainsi, en Louisiane, le gouverneur démocrate a apposé sa signature à une mesure d’interdiction de l’avortement, largement votée par la chambre de l’État. Si l’arrêt Roe v. Wave est renversé, la Louisiane connaîtra l’une des législations les plus sévères des Etats-Unis sur l’avortement, puisque le seul cas où il serait autorisé serait celui de la mise en danger de la vie de la mère, les représentants ayant rejeté, à des majorités variables, les cas de viol et d’inceste.

Dans l’Oregon, une initiative populaire ayant obtenu largement plus de signatures que le minimum requis, doit conduire la chambre des représentants à obliger, comme c’est déjà le cas dans vingt-deux États, les filles mineures à notifier à leurs parents, au moins quarante huit heures à l’avance leur intention d’avorter.

Bon nombre d’États connaissent aujourd’hui un mouvement de balancier, plus ou moins radical, dans le sens d’une restriction à l’avortement.


À VALENCE LE PAPE RÉAFFIRME LA VALEUR
IRREMPLAÇABLE DE LA FAMILLE
[13/07/2006]

Venu conclure la cinquième rencontre mondiale des familles, le pape n’a pas déçu : « Reconnaître et soutenir cette institution (la famille) est un des services les plus importants que l’on puisse apporter aujourd’hui au bien commun et au véritable développement des hommes et des sociétés, la plus grande garantie pour assurer la dignité, l’égalité et la véritable liberté de la personne humaine. »

Critiquant la « culture actuelle » qui « exacerbe la liberté de l’individu conçu comme sujet autonome et se suffisant à lui-même » et conduit à « organiser la vie sociale seulement à partir des désirs subjectifs et changeants, sans aucune référence à une vérité objective préalable », le pape a dit : « Il y a certaines choses auxquelles la vie chrétienne doit dire : NON. Nous voulons faire comprendre aux gens que la nature humaine veut que ce soit un homme et une femme qui soient faits l’un pour l’autre et pour donner un avenir à l’humanité. »

Nous ne pouvons que saluer ces propos du pape, se référant aux normes de la vie en société, normes que l’Église doit intégrer pour délivrer son message spirituel.


LA PREUVE PAR LA SUISSE (SUITE) [23/06/2006]

Intéressante suite à notre note d’information sur les conditions d’assurance maladie avantageuses proposées, par suite d’un accord avec l’association « Aide suisse pour la mère et l’enfant », par des assurances suisses à ceux qui accepteraient de souscrire à une « déclaration éthique de renonciation », en clair, qui prendraient l’engagement de ne recourir ni à l’avortement, ni au diagnostic prénatal, ni à la fécondation in vitro.

Evidemment, le lobby avortiste ne pouvait rester sans réagir devant une pratique qui, en dehors de sa dimension morale implicite, montre l’avortement sous son jour, que nous ne cessons de dénoncer, de fauteur de ruine économique. Aussi, un conseiller fédéral, s’est fait le porte parole de la culture de mort en proposant une motion en vue d’interdire cette pratique aux compagnies d’assurances : « Le Conseil fédéral – y est-il dit – est chargé de toute urgence de prendre toutes mesures utiles à empêcher des contrats d’assurance maladie donnant droit à des rabais en cas de renoncement à certaines prestations de base. » A l’appui de cette proposition, un argument détourné : « Une fois de plus, ces pratiques douteuses sont conçues pour attirer les milieux les plus modestes, écrasés par les primes d’assurance maladie. »

Tout en rappelant les aspects obligatoires de l’assurance maladie, selon la législation suisse, le Conseil national conclut au droit pour les sociétés d’assurances proposant des assurances complémentaires de « décider si et, le cas échéant, avec qui et pour quelle contenu elle veut conclure des contrats d’assurance », donc que « l’assureur peut accorder des rabais à certaines catégories de preneurs d’assurance », et que « la différenciation des tarifs est admissible pour autant qu’elle soit objectivement fondée par le cours des sinistres du portefeuille qui profite au rabais. »

Constatant enfin que cette pratique reste marginale, « le Conseil fédéral estime inutile et inopportun d’agir dans le sens voulu par l’auteur de la motion. »

L’affaire est à suivre attentivement, car la motivation des assureurs étant exclusivement financière (ces assurés sont plus sûrs et coûtent moins chers !), on voit mal ce qui pourrait empêcher la multiplication de ce type de contrats.

Malheureusement, on ne surestimera jamais le poids de la bienpensance !


EN EUROPE, IL Y A UN AVORTEMENT TOUTES LES 30 SECEONDES... UN MARIAGE SE ROMPT TOUTES LES 33 SECONDES [12/05/2006]

Le Rapport sur l'Evolution de la Famille en Europe 2006 a été présenté ce mardi 9 mai au Parlement Européen à Bruxelles.
Vous pouvez le consulter sur notre site web www.ipfe.org

Les propositions de l'IPF ont pour objectif promouvoir la mise en oeuvre d'une authentique politique familiale efficace et intégrale.

Des lignes d'action qui:
- promeuvent la Famille en tant qu’institution,
-en insistant sur l’idée même de Famille et
-en promouvant une culture et un environnement favorable
-qui permette à la Famille d’affronter le quotidien,
-en aidant les parents à accueillir tous les enfants qu’ils souhaitent,
-en intégrant de manière vraiment humaine et constructive les
différents milieux de développement personnel, familial et au travail,
-en aidant à dépasser les crises familiales,
-en reconnaissant le droit fondamental des parents à éduquer leurs enfants
-en promouvant la participation active des parents et associations et
-en prenant en compte, par des mesures spécifiques, les familles qui ont des besoins particuliers

Jean-Louis Thès
Président de l'IPF France
http://www.ipfe.org/rapport_evolution_famille_europe_2006.pdf


L'IMPACT ÉCONOMIQUE DE L'AVORTEMENT
LA PREUVE PAR LA SUISSE
[21/04/2006]

Tout le monde connaît l’impact négatif direct de l’avortement sur la santé publique et sur le coût de celle-ci, et tout le monde peut donc comprendre que sa légalisation et son remboursement constituent une véritable ruine économique et sociale aux prolongements non encore mesurés.

Une association suisse alémanique pro-vie vient, dans le cadre de la loi avortiste très large de la Confédération, de réaliser à ce sujet une expérience, limitée dans son objet, mais très éclairante.

40 000 personnes ont, en 2005, souscrit l’assurance de base obligatoire selon la loi, tout en renonçant à leur droit d’être remboursés d’un recours à l’avortement. Les analystes observent d’abord que, statistiquement, ces personnes sont des payeurs de primes sérieux et réguliers. Ensuite, ils coûtent moins cher à leurs compagnies d’assurances. Et ces deux éléments sont si vrais que l’on assiste chez les assureurs suisses à une surenchère pour attirer ce type d’assurés.

Le raisonnement est simple et peut se comparer à celui que certains tiennent au sujet du tabac. Y a-t-il un lien entre un comportement responsable et respectueux de la vie et l’économie de la santé ? Tire-t-on les conséquences de ce comportement de façon équivalente dans les deux cas ?

On parle périodiquement des liens entre l’avortement et le cancer du sein (cf. ci-dessous notre article « Une problématique occultée ») et d’autres affections somatiques ou psychologiques ; mais deux études internationales viennent de montrer coup sur coup que sur un échantillon de plus de 170 000 femmes, la mortalité augmente jusqu’à cinq fois dans les années qui suivent un avortement, et une autre que le risque de grande prénatalité augmente de 170 % dans le même cas.

Or, en France, où il a été récemment jeté un cri d’alarme à ce sujet –sans la moindre allusion à la cause- comme dans d’autres pays européens, les maternités sont actuellement submergées par des cas de prénatalité, dangereuses pour la mère, mais aussi, à terme court ou long pour les enfants, avec toutes les conséquences financières qu’on imagine.

Il n’y a, bien sûr, rien à attendre de ces observations dans la république de Chirac, mais nous pouvons quand même faire nôtre la conclusion du responsable suisse qui présente ces faits : « Souhaitons que les autorités politiques et médicales de notre pays sortent du débat idéologique et se donnent des moyens pour établir l’addition, certainement complexe, du coût humain et économique de la banalisation de cette pratique dans notre pays. »


LA CULTURE DE VIE À
BELGIQUE & CHRÉTIENTÉ
[31/03/2006]

Plusieurs communications du congrès de Belgique & Chrétienté, du 20 mars à Bruxelles, avaient trait à la culture de vie.

Nous relèverons en particulier celle du professeur Maciej Giertych, généticien, membre de l’Académie des sciences de Pologne, chef de file des élus de la Ligue des famille polonaises au Parlement européen, qui s’est penché sur la « démasculinisation de l’homme européen ».

Son diagnostic sur l’avenir d’une Europe, qui a peu à peu renoncé à tous ses repères identitaires, parmi lesquels son identité spirituelle nourrie de christianisme, est très pessimiste.

Le féminisme, l’affaissement de la notion d’autorité en général, les pratiques contraceptives et l’avortement, dans lesquels le père n’a pas son mot à dire, la pression politico-médiatique qui répand un idéal masculin plutôt androgyne et promeut la sodomie ou le lesbianisme comme des choix sexuels socialement acceptables, le désir d’enfant dénaturé, l’hostilité latente contre la famille nombreuse, autant de causes qui, avec la dévirilisation de l’homme, provoquent une chute de la natalité justifiant d’incessantes vagues d’immigration.

L’association organise une manifestation devant l’ambassade d’Algérie à Bruxelles, le samedi 1er avril, et a pris l’initiative d’une journée contre l’avortement, prévue pour le 25 juillet.


DEUX CARDINAUX AMÉRICAINS [27/02/2006]

Les associations pro-vie des États-Unis relèvent que les deux évêques de leur pays ayant fait partie de la fournée des quinze cardinaux nommés par le pape sont tous deux d’ardents défenseurs de la culture de vie. L’archevêque de Boston, Sean O’Maley et Mgr Lavada, alors évêque de Portland, furent de ceux qui, dans leurs diocèses, refusèrent la communion aux politiciens catholiques se prononçant -à titre personnel, disaient-ils- en faveur de l’avortement. C’est l’évêque de Portland que Benoît XVI a désigné dès son élection pour le remplacer à la tête du Saint-Office.


ENCORE UNE INITIATIVE PRO-AVORTEMENT
AU PARLEMENT EUROPÉEN
[17/02/2006]

Cinq députés socialistes européens, dont la française Martine Roure et la déjà célèbre Belge Anne Van Lancker, viennent de lancer la procédure de « déclaration écrite » destinée à la Commission, au sujet du droit des femmes, visant, au nom de principes de santé publique, à supprimer la souveraineté des États en matière d’avortement et de planification familiale.

Déjà cosignée par 57 parlementaires, elle a jusqu’au 12 mars pour être signée par une majorité de ceux-ci afin de pouvoir être obligatoirement envoyée aux institutions compétentes.


L'ENJEU DE LA COUR SUPRÊME
DES ÉTATS-UNIS (SUITE)
[03/02/2006]

Après avoir déjoué les pièges tendus par ses adversaires, au cours des auditions sénatoriales du mois de janvier, et surmonté une procédure d’obstruction légale (la procédure dite de "filibuster"), lancée contre lui par le sénateur John Kerry, candidat malheureux à la présidence des États-Unis contre Bush, associé à son collègue du Massachusetts, Ted Kennedy, le juge Samuel Alito a gagné la sympathie d’un nombre suffisant de sénateurs démocrates pour atteindre, au moment du vote définitif, le nombre de cinquante-huit voix en sa faveur, contre quarante-deux.

Mais la simple probabilité de son élection avait été suffisante pour que L’Humanité lance tous les signaux d’alarme, comme si la civilisation était en passe d’être submergée par les barbares.

On savait déjà que, contre les convictions de leur emblématique dirigeant, Maurice Thorez, les résidus français du communisme, s’étaient engagés dans la lutte finale en faveur de l’avortement. Chez eux, de finauds guillemets ne manquent jamais d’encadrer les "meurtres" ou les "assassinats" d’enfants in utero. Mais, à propos de la menace que, selon eux, la désignation du juge Alito fait peser sur l’avenir de l’avortement, on apprend que les conservateurs américains veulent « tuer l’avortement ».

Au fond, les coreligionnaires de Buffet n’ont pas tort. Les avortistes, de "gauche" comme de "droite" se bornent à vouloir "tuer" des enfants. Les défenseurs de la culture de vie, eux, ne récusent pas l’idée de "tuer" la mort.

Et si cela commence par les États-Unis, pourquoi pas ? Souhaitons simplement que les désignations des juges Roberts et Alito ne déçoivent pas ceux qui ont mis en eux l’espoir d’un monde où la mort ne l’emportera pas sur la vie.


GRANDE-BRETAGNE :
MOUVEMENTS AU SUJET DE L'AVORTEMENT
[03/02/2006]

Autorisé originellement (loi de 1967) jusqu’à 28 semaines, ramené à 24 (loi de 1990), proposé à 22 en 2004, (cf. notre Courrier "électronique" n° 23, du 17 septembre 2004), l’avortement continue à faire débat en Grande-Bretagne, où il est maintenant question de ramener les délais à 18 semaines.

Fin 2005, était rendus publics les résultats d’une enquête officielle, selon lesquels le nombre de bébés survivant à un processus d’avortement pouvait atteindre une cinquantaine chaque année.

À partir de 22 semaines, l’avortement est provoqué par une injection de chlorure de potassium, avant qu’il ne soit expulsé du sein maternel, mais il semble que peu de médecins soient disposés à effectuer un tel travail. Plus jeune, l’enfant est tué par injection de médicaments. Mais, dit un praticien –à partir de 19 semaines, ils peuvent naître en respirant et en criant, ce qui est franchement dérangeant, et il faut alors les faire mourir en les privant de tous soins, ce qui n’est pas non plus facile et revient officiellement, la schizophrénie régnant, à un infanticide. Avant, non ! Après, oui ! S’ils survivent quand même, ils peuvent avoir des tares congénitales plus ou moins graves. Les cliniciens s’inquiètent.

Atteinte de paralysie cérébrale, une femme, qui a survécu à son avortement, a témoigné devant les Communes pour demander la réduction des délais. « Si l’avortement est un droit de la femme, quels sont alors mes droits » – dit-elle ?

Sondages faits dans le public, si une femme sur dix est favorable à la délégalisation de l’avortement et deux pour cent, au contraire, à un prolongement des délais, c’est 47 % des femmes et 36 % des hommes qui souhaitent un raccourcissement de l’actuel délai de 24 semaines.

Le cardinal O’Connor, primat catholique, se félicite de ce qu’il interprète comme une prise de conscience. Mais les politiques, tous partis confondus, semblent d’accord pour maintenir le statu quo.


PORTUGAL [03/02/2006]

Au Portugal, la majorité socialiste se préparait à organiser le deuxième référendum en vue de rendre l’avortement aussi aisé que dans la majorité des autres États de l’Union européenne. Alors qu’actuellement, l’avortement n’est autorisé qu’en cas de viol ou de danger pour la vie de la mère, et de toutes façons jamais au-delà de la douzième semaine, le projet gouvernemental est de donner aux femmes la possibilité d’avorter par simple choix jusqu’à la dixième semaine.

Même argumentation, irrationnelle et mensongère, que dans les autres pays où il a déjà été décidé de libéraliser l’avortement. D’une part, disent les avortistes portugais, il est anormal que les femmes continuent à risquer leur santé en avortant illégalement ; ce qui revient à dire cette énormité sociale : puisque celui qui accomplit tel acte illégal, court par le fait même de son illégalité un certain nombre de risques, rendons cet acte légal afin de créer les conditions où il n’y aura plus de risques à le perpétrer. D’ailleurs, disent-ils aussi, dix mille femmes doivent être hospitalisées chaque année par suite de complications dues à des avortements clandestins, ce qui est une honte. Mis à part l’aspect immoral et anti-social de l’argument, le chiffre donné, exactement comme ce qui se passa en France en 1974, multiplie sans doute par cent le chiffre réel.

Mais, la cour constitutionnelle portugaise ayant décidé qu’il serait illégal d’organiser ce référendum avant le mois de septembre 2006, le gouvernement socialiste pourrait, comme en France, faire simplement procéder à un vote parlementaire.


INTOX SUR L'ORÉGON [27/01/2006]

Contrairement aux commentaires, à la fois peu éclairés et partisans, qui ont été faits par les médias français, ce n’est pas du tout le droit constitutionnel au suicide assisté, tel qu’une loi de l’État de l’Oregon l’a institué depuis 1997, que le récent arrêt de la Cour suprême des États-Unis a confirmé. Ce n’est même pas, au sens propre, l’affirmation du droit des États à légaliser l’euthanasie...

Le problème posé était purement juridique et il a été résolu dans un sens purement juridique. Il s’agissait simplement de savoir si le gouvernement fédéral a le droit de passer par dessus une loi d’Etat pour imposer sa propre manière de penser et de faire. La réponse de la Cour suprême, prise par six voix contre trois, est : Non !

Cet arrêt fondamental, limitant les pouvoirs du gouvernement central par rapport à ceux des Etats, confirme une conception décentralisée des États-Unis d’Amérique, selon la tradition des pères fondateurs. Il ne faut pas s’étonner que les trois membres de la Cour réputés les plus conservateurs, le président John Roberts et les juges Clarence Thomas et Antonin Scaglia, aient voté dans ce sens.

Fortement motivé, rédigé d’une manière très restrictive, cet arrêt écarte pour l’avenir la menace du totalitarisme idéologique sur les institutions du pays.

En ce qui concerne la nomination du juge Samuel Alito, sa confirmation par la commission des affaires judiciaires du Sénat (avec les 10 voix des membres républicains contre les 8 voix des membres démocrates) ne préjuge en rien d’un vote favorable des 100 sénateurs, la faction la plus radicale des démocrates s’étant décidément ancrée dans une opposition absolue et prosélytique au candidat du président.

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