Après avis conforme du Conseil constitutionnel, la loi instituant la Pacte Civil de Solidarité (P.A.C.S.) doit être rpomulguée par le président de la République.

« (...) Soyons clairs, ce projet de loi (PACS) a été fait pour sauvegarder les droits des homosexuels ».
Déclaration d'Yvette Roudy, ancien ministre, dans les colonnes de La Une de janvier 1999.

Le mercredi 13 octobre 1999, par 315 voix contre 249, les députés ont donc adopté, définitivement par acclamation, le projet de légalisation des couples homosexuels.
Deux députés de "l'opposition" ont voté le projet gouvernemental : Roselyne Bachelot, député du Maine-et-Loire, et Gérard Grignon, député de Saint-Pierre et Miquelon.

Après un an de manœuvres parlementaires et de stériles manifestations d'opposition, la mise sur un pied de quasi égalités des "couples" homosexuels avec l'institution familiale, fondement organique de la société civile, constitue une nouvelle et radicale destruction systématique de la société française réalisée depuis plusieurs décennies, dans l'indifférence ou la complicité de l'opinion publique.

Le recours formel au Conseil Constitutionnel, l'avis du Conseil d'État sur les décrets d'application, le recours éventuel à l'article 10 de la Constitution par le Président de la République pour demander une nouvelle délibération, ne repousseront guère la mise en oœuvre de cette nouvelle loi qui s'imposera désormais comme s'imposent le divorce, la suppression de l'autorité paternelle et de la spécificité du rôle de la mère, la contraception libre, l'avortement, et comme s'imposeront bientôt les destructions des derniers pans encore subsistants des conditions naturelles de la société des hommes.

« (...) Soyons clairs, ce projet de loi (PACS) a été fait pour sauvegarder les droits des homosexuels ».
Déclaration d'Yvette Roudy, ancien ministre, dans les colonnes de La Une de janvier 1999.

En troisième lecture, le 30 juin, le texte de loi sur le P.A.C.S. a été à nouveau rejeté par les Sénateurs. Le vote ayant eu lieu vers les 22 h 30, ce texte ne pourra être rediscuté qu'au mois d'octobre ; la session parlementaire s'atant achevée ce jour-là à minuit.
Aussitôt hystérie de la part des destructeurs de la cellule familiale, telle la présidente du groupe communiste, Hélène Luc, qui cria à l' obstruction" et à l' "homophobie" de la majorité sénatoriale ; ce qui prouverait que le P.A.C.S. soit bel et bien une sorte de mariage homosexuel.
Soyons sûr que les partisans de l'éclatement du noyau familial feront tout pour que le P.A.C.S soit définitif dès le mois d'octobre et l'on doit être cerain que conformément à sa pratique constatnte l' "opposition" de "droite", si elle revenait au pouvoir, ne remettra ajamis en cause cette régression sociale.

L'avortement à Paris [15/09/2006]