Laissez-les-Vivre

Qui sommes-nous ?
Programme
Communiqués
Le "Courrier"
Publications
Diffusez vos idées
Adhérez
Liens
Archives

SOS Futures Mères

Qu'est-ce que c'est ?
Un cas SOS FM
Joindre une antenne
Aider SOS FM
Sa vie avant la naissance
Qu'est-ce qu'un avortement ?

DOCUMENTATION

Démographie mondiale
F.A.Q.

Nous contacter
DANS LE BEAU
MONDE DE LA
CULTURE DE MORT

INFANTICIDES [07/11/2006]

Nous avons déjà attiré l’attention sur la logique mortifère de la législation avortiste, de telle sorte qu’en lançant l’expression de "culture de mort", opposée à celle de "culture de vie", le pape Jean-Paul II a exprimé une profonde vérité.

Il y a une logique de la vie comme il y a une logique de la mort, et la culture de vie, comme la culture de mort, sont, ainsi que nous aimons à le répéter, indivisibles.

Selon ses concepteurs, la législation avortiste annonçaient l’ère de l’enfant choisi donc de l’enfant heureux. Tout au contraire, comme nous l’avons toujours annoncé parce que c’était évident, elle a montré que la fondamentale relativisation de la vie qu’elle exprime aurait deux conséquences aussi nécessaires que l’effet des lois de la pesanteur : d’abord, par une espèce de justification immanente, la généralisation des violences à l’égard des enfants et des infanticides, en particulier chez ceux qui, après coup, regretteraient de ne pas y avoir eu recours (une sorte d’avortement post natum) ; ensuite, par ses contradictions internes, elle entraînait la société en général, ses lois, ses mentalités, dans une véritable schizophrénie sociale qui provoquerait son explosion.

Aujourd’hui, il faut s’aveugler pour ne pas voir que les unes et les autres prennent des proportions insensées et, disons le, certaines considérations produites devant les tribunaux dans l’une ou l’autre de ces affaires sont proprement insoutenables.

A Redon, comme à Toulouse, dans des contextes complètements différents, les mères meurtrières (on se souvient que la seconde a, comme dans le cas de Séoul, conservé le corps du bébé dans son congélateur ) ont argué de la détresse dans laquelle les mettait l’obligation d’avoir à s’occuper de l’enfant. Alors ? Non criminelles si elles tuent l’enfant in utero ; criminelles si elles le tuent post natum.

A propos de l’affaire de Séoul, Le Parisien s’interrogeait avec une belle inconscience : « Mais comment une mère peut-elle tuer ses trois bébés ? » Comment n’envisagerait-elle pas de les tuer s’ils l’incommodent puisqu’elle aurait eu le droit de le faire légalement avant leur naissance. Et comment la même logique ne serait-elle pas étendue aux personnes grabataires ?

Naguère encore considérés comme les crimes les plus abominables, les infanticides commis par les parents des victimes bénéficient de l’indulgence des jurys d’assises. On ne peut pas tuer l’enfant du voisin, mais on peut tuer le sien propre : logique de la loi Veil ! Avec l’indulgence symétrique dans les cas d’assassinats exécutés par la famille envers les personnes grabataires (cf. le cas de Léonie Crevel) on est en pleine schizophrénie sociale et au cœur de la culture de mort.

La schizophrénie est déjà à son comble aux Pays-Bas : trois ans de prison pour une mère qui a noyé successivement ses quatre enfants, mais présentation d’un projet de loi pour interdire aux parents, sous des peines sévères (trois ans de prison ?) de donner la fessée.


STATISTIQUES OFFICIELLES DE L'AVORTEMENT POUR 2004 [29/09/2006]

Selon l’organisme de statistiques du Ministère de la cohésion sociale (sic), qui porte le nom de D.R.E.E.S. (resic), le nombre de femmes ayant avorté en France en 2004, légèrement supérieur à celui de 2003, s’établit à 210 700, contre 203 000. Ce nombre ne tient compte ni des "interruptions médicales de grossesse", ni de la "ontraception d’urgence" (pilule dite du lendemain). Après le triplement (évaluation basse) des avortements, du fait de leur légalisation par la loi Veil en 1975, le nombre des avortements légaux est resté relativement stable. Mais la contraception sous toutes ses formes, constamment promue par la caste politico-médiatique, se développant sans cesse, on peut comprendre la mauvaise situation démographique, dont les conséquences économico-sociales commencent déjà à s’imposer.

Ce que les chiffres officiels disent aussi, c’est la tendance à l’augmentation de la pratique abortive chez les mineures, où l’on a enregistré une progression de 32 % depuis 1990, et ensuite du recours à l’avortement chimique (42 % des cas en 2004, contre 20 % en 1998). A noter aussi la persistance de fortes disparités régionales, l’Ile-de-France, les régions de Languedoc-Roussillon, de Provence-Côte d’Azur et de Corse étant les plus touchées.


PETITS PAS ÉCONOMIQUES POUR
LA CULTURE DE MORT
[15/09/2006]

Nous rappelons toujours que l’une des expressions privilégiées de culture de mort est la mauvaise gestion économique, induisant une paupérisation croissante de la population. Trois faits viennent le confirmer.

R.M.I.
Selon les chiffres, fournis par la C.N.A.F., au deuxième trimestre 2006, le nombre de personnes touchant le R.M.I. a remonté ( 33 .000 nouveaux contre 24 000 en mars), traduisant une augmentation de 2,4 % sur un an. Le nombre total de ces personnes est actuellement de 1, 111 millions, représentant un budget de 1,49 milliards.

FRAUDES AUX ALLOCATIONS FAMILIALES
On se souvient de la découverte, en mai dernier, de l’énorme escroquerie aux allocations familiales montée par une Africaine qui, étant parvenue à faire reconnaître la naissance de quintuplés dans dix-sept caisses différentes, avait empoché plusieurs dizaines de milliers d’ "euros ".
Les statistiques publiées ces jours-ci par la C.N.A.F. font état d’un accroissement régulier des fraudes, avec un bond spectaculaire entre 2004 et 2005, de 1650 cas à 2295.


AUGMENTATION DES PRIX
Une comparaison toute simple, effectuée par Michel de Poncins, montre que sur 1,70 "euros" de différence entre le prix d’un melon payé au producteur, et le prix demandé au consommateur, au moins 1 "euro" tombe, sous forme d’impôts, taxes et charges diverses, entre les mains de l’État.


LE PAPE ET LE CANADA [15/09/2006]

Au Canada, qui a légalisé l’année dernière les unions entre sodomites ou entre lesbiennes, le pape Benoît XVI a déclaré : « Au nom de la tolérance, votre pays a dû supporter l’ineptie d’une redéfinition du concept d’époux. » Et il a recommandé aux hommes politiques catholiques de ne pas « se laisser influencer par les sondages d’opinion et les tendances sociales. »


L'AVORTEMENT À PARIS [15/09/2006]

Pour 3,5 % de la population nationale, Paris aligne près de 7 % des avortements.


FŒTUS DE SAINT-VINCENT DE PAUL :
CIRCULEZ, IL N'Y A RIEN À VOIR !
[12/05/2006]

Le "classement sans suite" de l'enquête ouverte en août 2005 après la découverte de 450 fœtus conservés à l'höpital Saint-Vincent de Paul, dégage l'administration de toute faute mais scandalise les familles.

Tous les détails de l'affaire :

Cliquez sur le logo !


S.I.D.A. ET DISACTION [05/05/2006]

Le totalitarisme de la bienpensance officielle a, une fois encore, du 31 mars au 2 avril, imposé sa vision mensongère et destructrice par la célébration de cette nouvelle "grand’messe" médiatique dénommée Sidaction.


Le site Internet catholique Le Salon beige rappelle qu’il n’y a là, avec la complicité active des pouvoirs publics, qu’ « une supercherie médiatico-financière », entièrement entre les mains du lobby sodomite, et que la promotion du "préservatif" n’est qu’une imposture scientifique.

Pour en savoir plus :
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2006/03/la_vrit_sur_le_.html


LE TÉLÉFILM SUR BOBIGNY :
UN MENSONGE NATIONAL
[10/04/2006]

La culture de mort est impensable sans le mensonge !

Lundi dernier 3 avril, FRANCE 2 a diffusé un téléfilm sur le procès de Bobigny (8 et 9 novembre 1972), épisode majeur et sans doute décisif de la revendication de l'avortement au début des années soixante-dix. C'est le procès de la mère (Madame Chevalier) et de l'avorteuse (Madame Bambuck) d'une jeune fille qui s'était retrouvée « enceinte à la suite d'un viol »... Sauf que dans l'histoire vraie la jeune Marie-Claire n'a pas du tout été violée, elle était enceinte d'un camarade qui, de surcroît, ne voulait pas qu'elle avorte. Pour susciter la compassion et l'adhésion des téléspectateurs, il était bien préférable de mettre un viol dans l'histoire : les auteurs du téléfilm n'ont pas reculé devant cette manipulation de la vérité. Tous les organes de presse ont repris sans sourciller ce mensonge. Les Français, on le sait, ont la mémoire courte. Qui pourrait d'ailleurs imaginer que, dans une reconstitution historique si récente, on a osé travestir les faits. Signe du mépris dans lequel on tient une opinion hypnotisée par le petit écran : "ils" ont osé ! Au train où vont les choses, on retrouvera cela dans les livres scolaires et la fiction d'une Histoire "revisitée" s'imposera à tous au détriment de la vraie. Comme dans "1984", la terrible anticipation de George Orwell.

Il est nécessaire de réagir à de tels procédés :
– en protestant auprès du service des Relations avec les Téléspectateurs de France2 , par téléphone : 08.90.70.02.02, ou par courrier : 7 esplanade Henri de France - 75907 Paris Cedex 15;
– en demandant un rectificatif dans le cadre du JT au président de France-Télévision, Patrick de Carolis, même adresse;
– en alertant vos journaux et magazines (tél. et adresse dans tous les numéros) et en leur demandant de veiller à l'exactitude des informations qu'ils répercutent. Pour ne donner que ces trois exemples, Le Figaro, Le Point, Famille Chrétienne ont accrédité la thèse du viol.

Pierre GASTAL

Mise au point de Famille Chrétienne : Nous attirons votre attention sur le fait que nous avons publié une précision dans notre n° 1478 du 13 mai, dont voici l’extrait principal : « En publiant le résumé du téléfilm, nous avons omis de préciser que le prétendu viol de la jeune fille était à mettre au compte des manipulations de ce procès historique, qui précipita la dépénalisation de l’avortement en France. »


TARIFS OFFICIELS DE L'AVORTEMENT [24/03/2006]

Selon un rapport de la Direction régionale de l’action sanitaire et sociale d’Ile-de-France, publié fin 2005, le coût de l’avortement, fixé par décret ministériel est le suivant :
1) Avortement par la méthode médicamenteuse, autorisé jusqu’à la cinquième semaine de grossesse (loi Aubry et décrets d’application Douste-Blazy) : 257, 91 "euros ".
2) Avortement par une méthode chirurgicale, qui nécessite une hospitalisation, de quelques heures à 24 heures, et une anesthésie, prix variant de 190,38 "euros" à 274,77 "euros", selon la durée de l’hospitalisation et la nature de l’anesthésie, locale ou générale.
Le taux de remboursement de ces actes par la Sécurité sociale est, en règle générale, de 80%, mais passe à 100 % pour les femmes bénéficiant de la C.M.U. complémentaire ou de l’A.M.E.


SARKOZY CÉLÈBRE L'AVORTEMENT ET
LA CONTRACEPTION
[24/03/2006]

Prenant la parole le 7 mars à l’occasion d’une convention de son parti, l’Union pour la majorité présidentielle, devenue démagogiquement l’Union pour un mouvement populaire, dont il est le président, le ministre de l’intérieur a déclaré : « L’avortement est un drame. Mais c’est justement parce que c’est un drame que la loi doit être appliquée. Il n’y a pas assez d’infrastructures et de personnel et les temps d’attente sont trop long. »

Au sujet de la contraception, les propos du ministres ont été les suivants : « La loi de 1967 sur la contraception (qui) a autorisé à la fois l’usage des contraceptifs et la diffusion de l’information sur la contraception (…), a beaucoup contribué à l’émancipation des femmes, car c’est à l’occasion de cette information que de nombreuses femmes ont pris conscience qu’elles avaient le droit de connaître et de maîtriser leur corps. »


SUR UNE IMPOSTURE [17/03/2006]

Le point 4 du plan du ministre Azouz Begag présenté le 1er février en conseil des ministres porte textuellement : « Des actions de communications seront engagées pour combattre les préjugés et faire évoluer les mentalités. (…) Les chaînes publiques de télévision seront associées à cette démarche. »

Même si Begag parle pudiquement de "communication", plutôt que de "propagande" ou de "manipulation", la bienpensance a rarement connu une formulation aussi cynique. Avec, statistiquement parlant, 7 % de personnes qui sont, par nature, imperméables à tout conditionnement, on voit que la démocratie a encore de beaux jours devant elle.

En tous cas, on peut ensuite tranquillement arguer de l’évolution des mentalités pour justifier le changement de la loi prévu par l’idéologie officielle. Les défenseurs de la culture de vie ont remarqué que c’est l’argument servi en faveur de chaque avancée de la culture de mort. Aujourd’hui, avec près de 90% d’opinions favorables dans l’opinion publique, cette supposée évolution est le plus ferme appui en faveur de l’euthanasie, et qu’elle le sera, en temps voulu, en faveur de ce qui se prépare en matière de famille et d’adoption.


UN DEMI-SIÈCLE POUR LE PLANNING FAMILIAL [03/03/2006]

Selon Le Quotidien du médecin du 21 février « rien n’est acquis en matière de contraception et d’avortement », et le Mouvement français pour le planning familial (M.F.P.F.), dont on célèbre les cinquante ans (festivités officielles le 18 mars), « doit faire face à la menace d’un retour à l’ordre moral ».

Faisant toutes réserves sur la valeur philosophique de cette formulation bien-pensante (cf. commentaire suivant), nous voulons simplement suivre ici, sans commentaires, d’après ses chroniqueurs les mieux reconnus, les grandeurs et les misères de la politique de mort.

Pionnière en France de la contraception, le docteur Jacqueline Kahn-Nathan se souvient de la difficulté des premiers temps de son apostolat, avec le lancement du célèbre slogan : « Un enfant quand je veux, si je veux. »

D’abord, pose de stérilets, puis, à partir de 1965, face à des obstacle légaux et éthiques, progrès de la pilule contraceptive : « Nous n’attendrons pas que les contraceptifs soient autorisés pour les prescrire – raconte-t-elle – Jamais nous n’avons eu la sensation d’outrepasser des droits au point de nous imaginer derrière des barreaux. Notre démarche s’est toujours voulue plutôt joyeuse. Nous étions tellement persuadés de satisfaire un besoin légitime de la population féminine (…) Les Françaises étaient reconnaissantes à qui leur procurait une vie sexuelle sans risque. »

Enfin Neuwirth vint ! Et la loi du 19 décembre 1967, qui porte son nom, « libéralise la contraception et entérine les démarches militantes ». Le ministère de la santé commence à subventionner les centres du M.F.P.F., nouvellement créés par la loi, tandis que la contraception va être remboursée. Le Mouvement pour la libération de l’avortement et de la contraception (M.L.A.C.) lance un mouvement de désobéissance civile grâce auquel – selon l’expression de Maya Surduts (militante de la première heure, aujourd’hui animatrice de la Coordination des associations pour la défense de l’avortement et de la contraception, C.A.D.A.C.) – « la condition féminine quitte la préhistoire ».

Ah ! J’oubliais. « Ordre moral » oblige : pour Maya Surduts, il s’agissait de sortir d’« une société un peu vichyste », contre laquelle la loi Veil (17 janvier 1975) a eu le mérite de « rétablir l’ordre public ».

On pourrait penser qu’un demi-siècle plus tard, les bienfaits de cette politique par laquelle une société organise et paye sa propre mort, devraient l’emporter par leur évidence.

Las ! En 2006, dit le docteur Kahn-Nathan, la contraception a cessé d’être à la mode. La faute en revient – indique-t-elle – à « l’immigration porteuse d’enfants » et à « la montée de mouvements sectaires puissants. »

En ce qui concerne l’avortement, la situation n’est pas plus brillante. Tandis que les services de gynécologie ne s’y ralliaient que tardivement, les mentalités évoluaient de façon décevante : « L’avortement demeure un tabou et la sexualité associée à la procréation. Ce qui explique que l’IVG est non assumée, et la contraception mal appliquée » explique Maya Surduts.

En outre, l'avortement se voit même aujourd’hui menacé, comme le montre la tendance rétrograde qui se fait jour aux États-Unis, en Pologne, ou en Italie. « Une loi peut en effacer une autre », se lamente Maïté Albagly, secrétaire générale du M.F.P.F.

Et puis, avec tous ces « extrémistes catholiques et islamistes » qui sont perpétuellement en embuscade, la vie (ou plutôt la mort) est bien dure.

En somme, « l’histoire du M.F.P.F.est encore à faire ».

A C T U A L I T É
Cliquez sur le logo de la rubrique
que vous souhaitez consulter


Idées

Sur le front du respect
de la Vie en France

Où en est le respect
de la Vie à l'étranger ?

À l'Est du nouveau

La culture de Vie
face aux tribunaux

Euthanasie
Eugénisme

Tocsin

Politique familiale

Démographie

Protection sociale et
retraite

Bioéthique

Bibliographie

ARCHIVES

Pour consulter les autres années, cliquez sur l'icône du journal en face de l'année correspondante.

Cliquez ici 2007

Comme en 2005 ? [02/02/2007]

Cliquez ici 2005

Unicité de la culture de mort [23/12/2005]
Nomination à Normale Sup [09/12/2005]
Après les violences d'ACt-Up à Notre Damme de Paris : Omnipotence de la culture de mort [14/10/2005]
Baccalauréat 2005 : L'avortement et les jeunes français [21/09/2005]
La culture de mort : nouvelle matière obligatoire au baccalauréat [01/07/2005]
La culture de mort persiste et signe : Simone Veil de plus en plus à l'honneur [01/07/2005]
« Merci Jean-Pierre ! » [24/06/2005]
Technique de mort [17/06/2005]
Le cimetière de Belfort [03/06/2005]
« Un enfant quand je veux » [27/05/2005]
Entre la vie et la mort : le grand écart ! [20/05/2005]
Un infanticide exemplaire [20/05/2005]
Pour l'avortement : oui àla constitution européenne [06/05/2005]
Le pourrissoir officiel [29/04/2005]
Lamento sur l'avortement [22/04/2005]
La contraception et l'éducation sexuelle nourrissent l'avortement [11/03/2005]
Le « discours pour la vie » de Jacques Chirac et la mort des Français [14/01/2005]
Front uni de la culture de mort – Une manifestation pour fêter les trente ans de la loi Veil [14/01/2005]

Cliquez ici 2004

De la culture de mort à la culture de haine [17/122004]
« La victoire n'est pas tout à fait acquise » [10/122004]
Veil célèbre ses "trente piteuses" [12/11/2004]
« Paroles d'avortées » Une statue en pied pour Simone Veil [01/10/2004]
Étés meurtriers [17/09/2004]
Mariage sodomite [20/08/2004]
L'annonce faite par Douste-Blazy [09/07/2004]
Problèmes économico-sociaux, culture de mort : où vont les évêques de France ?[07/07/2004]
Promotion de la loi Aubry [14/06/2004]
La culture de mort est un "bloc" – La preuve par le Planning [11/06/2004]
L'ancien évêque d'Evreux, Gaillot, se proclame favorable au mariage entre homosexuels [07/05/2004]
Le maire de Paris contre « les forces de mort » [16/04/2004]
De Douste à Veil [09/04/2004]
Le remaniement de Raffarin III [05/04/2004]
Le Planning Familial abuse [26/06/2004]

Cliquez ici 2003

Une "famille" à l'américaine [26/06/2003]
Les défenseurs de la culture de vie bientôt jugés pour "crime contre l'humanité" ? [14/03/2003]
Les étranges patients du Pr Sureau – petit retour sur la "bienpensance" [20/02/2003]
Les homosexuels de la Majorité Présidentielle [20/02/2003]
Un texte pour l'histoire [03/02/2003]

Cliquez ici 2002

Quid de l'adoption d'enfants par les homosexuels ? [25/03/2002]
Coucou, fais-moi peur ! [05/03/2002]
A propos d'Hervé Le Bras [08/02/2002]
Les choix de Prochoix [23/01/2002]

Cliquez ici 2000

Les "Gays" convolent aux Pays-Bas
Les "couples" d'homos veulent adhérer à l'U.N.A.F. [01/12/2000]
La Famille bafouée lors de la "Journée de préparation à la défense" [21/06/2000]
Actualité du P.A.C.S. (5) [07/06/2000]
Un ecclésiastique membre du CCNE nommé évêque [07/06/2000]
Actualité du PA.C.S. (4) [03/02/2000]

Cliquez ici 1999

Actualité du PA.C.S. (3) [10/11/1999]
Actualité du P.A.C.S. (2) [14/10/1999]
Actualité du P.A.C.S. [01/07/1999]