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SUR
LE FRONT
DU RESPECT DE
LA VIE EN FRANCE |
AVORTEMENT
À 12 SEMAINES |
[06/12/2000] |
Saisi,
le 5 octobre 2000, par les groupes RPR-UDF-DL à
l'Assemblée nationale, à propos d'une dérive
eugénique, le Comité consultatif national d'éthique,
avait répondu, le 27 novembre, : « le
risque d'une dérive eugénique évoqué
par la saisine ne paraît pas fondé ».
Cette réponse ne nous étonnera guère puisqu'il
y a quelques mois, le même C.C.N.E. s'était
prononcé pour "l'exception d'euthanasie".
C'est
donc la conscience tranquille que les députés ont
adopté, en première lecture, le 5 décembre,
le projet de loi facilitant l'avortement et réprimant davantage
les défenseurs de la culture de vie (323 voix pour,
222 voix contre et 8 abstentions).
Treize députés de "droite" ont mêlé
leurs voix à celles de la majorité socialo-communiste :
l'inévitable Roselyne Bachelot (élue des
conservateurs angevins), Philippe Séguin (candidat
officiel à la mairie de Paris), Guy Drut (RPR
Seine-et-Marne), Jacques Lafleur (RPR Nouvelle Calédonie),
le Dr Jean-Michel Dubernard (RPR Rhône), Alain
Ferry (UDF Bas-Rhin), Gérard Grignon
(UDF St Pierre et Miquelon), Jean-Bernard Raimond
(RPR Bouches-du-Rhône ancien ministre des
Affaires étrangères du gouvernement Chirac de cohabitation),
Yves Bur (UDF Bas-Rhin), Franck Marlin (RPR
Essonne) et Olivier de Chazeaux (maire RPR de Levallois-Perret).
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LES
PARLEMENTAIRES ONT MASSIVEMENT
AVALÉ LA "PILULE DU LENDEMAIN" |
[30/11/2000] |
La
proposition de la loi permettant aux infirmières de délivrer
le Norlevo sans prescription médicale a été
adoptée par les parlementaires : vote à l'unanimité
au Sénat ; et seulement six députés
pour s'y opposer à l'Assemblée nationale :
Christine Boutin (UDF Yvelines), Philippe de
Villiers (MPF Vendée), François d'Aubert
(DL Mayenne), Claude Goasguen (DL Paris),
Jean De Gaulle (RPR Paris) et Anicet Turinay
(RPR Martinique).
Par contre, présents en séance, Jean-Louis Debré
(président du groupe RPR à l'Assemblée) et
Alain Madelin (Président de Démocratie Libérale)
ont voté pour le texte du gouvernement.
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BIENTÔT
LA LOI AUBRY-ROYAL |
[25/09/2000] |
Le
Conseil d'État ayant déclaré l'illégalité
de la circulaire Royal sur la libre distribution du Norlevo
dans les établissements scolaires, le gouvernement vient
de déposer un projet de loi sur la "contraception
d'urgence" permettant de surmonter l'impossibilité
légale soulignée par le Conseil d'État. Son
article unique est rédigé de la manière suivante :
« L'article L.5134-1 du code de la Santé
publique est complèté par deux alinés ainsi
rédigés :
"Les médicaments ayant pour but la contraception d'urgence,
et non susceptibles de présenter un danger pour la santé
dans les conditions normales d'emploi, ne sont pas soumis à
la prescription obligatoire".
"Ils peuvent être prescrit et délivré
aux mineures désirant garder le secret. Ils peuvent être
administrés aux mineures par les infirmières en
milieu scolaire" ».
Dans
le texte exposant les motifs de cette nouvelle loi, on apprend
que le gouvernement a dépensé 24 millions de
francs pour la campagne sur la contraception lancée le
12 janvier 2000.
On y apprend également que le 29 août, le ministère
de l'Emploi et de la Solidarité et Secrétariat d'État
à la Santé ont décider « de
diminuer le prix maximal de vente public du stérilet ».
Ce que ne dit pas ce texte c'est que son prix a été
ramené de 300 à 142 F et son remboursement
fixé à 65 % alors qu'il était limité
auparavant à 144 F.
D'autre part, quelques jours plus tôt, le Ministre Aubry
avait fait abaisser le prix de vente du Norlevo à
58,40 F.
Par
contre les familles qui se consacrent à l'éducation
de leurs enfants...
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LE
CONSEIL D'ÉTAT SUIT LES RÉQUISITIONS
DU COMMISSAIRE DU GOUVERNEMENT |
[03/07/2000] |
Le
30 juin, le Conseil d'État a rendu son arrêt
concernant les recours déposés par diverses associations
familiales et de défense de la vie (dont LLV
SOS FM) contre la circulaire Royal qui prétendait
autoriser les infirmières scolaires à délivrer
la "pilule du lendemain" (Norlevo) aux lycéennes.
Entre autres considérants, la haute juridiction relève
que le Norlevo « qui constitue un contraceptif
hormonal au sens de la loi du 28 décembre 1967
et ainsi n'entre pas dans le champ de la loi du 17 janvier 1975,
relative à l'IVG, ne peut, en application des dispositions
précitées de l'article 3 de la loi du 28 décembre 1967,
être prescrit que par un médecin et délivré
qu'en pharmacie ou dans les conditions posées par l'article
4 de la loi, par un centre de planification ou d'éducation
familiale ; que dès lors, le ministre délégué
à l'enseignement a méconnu ces dispositions législatives
en confiant le rôle de prescription et de délivrance
aux infirmières scolaires ».
En conséquence, l'article 2 de la décision
du Conseil d'État déclare que les dispositions ministérielles
sont annulées.
Aussitôt, la décision connue, et suivant l'annonce
qui en avait été faite par Royal, les minsitres
Lang (éducation nationale), Aubry (emploi et solidarité),
Royal (famille) et Gillot (santé) ont déclaré,
dans un communiqué commun, qu'un texte législatif
sera déposé sur la contraception, d'ici à
la fin de l'année pour, selon les termes d'une déclaration
de Royal « modifier la loi afin de tenir compte
des nouvelles contraceptions qui n'existaient pas en 1967 ».
Le ministre délégué à la famille et
à l'enfance a ajouté : « Aujourd'hui,
tous les ministres concernés sont d'accord (...) ».
Elle précisa même que deux des articles de la future
loi étaient déjà prêts. Redisons qu'il
y a là un détournement de la Loi. En l'occurence,
il existait une loi interdisant la délivrance sans contrôle
d'un produit toxique. Pour des raisons idéologique, le
gouvernement ayant choisi de généraliser l'utilisation
dudit produit et se trouvant devant une interdiction législative,
prise au nom du bien commun, n'a d'autre moyen que de modifier
la loi dans le sens de son idéologie.
On
a pu entendre, d'autre part, les infirmières scolaires
du syndicat national des infirmier(e)s conseiller(e)s de santé
(S.N.I.C.S.) se plaindre du fait qu'elles n'auront pas
le droit de délivrer le Norlevo. Juiridiquement
parlant, ces dignes personnes se trouvent à peu près
dans la situation d'hôtesses de l'air ayant le diplôme
de l'École Tunom qui se plaindraient de ce que le Conseil
d'État aurait annulé une décision ministérielle
les autorisant à prendre les commandes d'un avion de ligne
en lieu et place du commandant de bord. Les infirmières
scolaires du S.N.I.C.S. accepteraient-elles de monter à
bord d'un avion dont elles sauraient à l'avance que le
pilote est une hôtesse de l'air diplômée de
l'École Tunom ?
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 |
UNE
PROPOSITION DE LOI EN FAVEUR DES
"FEMMES ENCEINTES EN DIFFICULTÉS"
DÉPOSÉE À L'ASSEMBLÉE NATIONALE |
[21/06/2000] |
Alors
que le gouvernement a affirmé son intention de modifier
la loi Veil dans le sens d'un élargissement des conditions
permettant l'avortement, Christine Boutin, vient de déposer
une proposition de loi « tendant à favoriser
l'aide aux femmes enceintes en difficultés ».
Interrogée sur le sens de sa démarche, le député
des Yvelines explique dans La Croix : « D'une
part, il y a un déficit démographique réel.
D'autre part, les femmes désirent davantage d'enfants qu'elles
n'en ont effectivement ».
Christine Boutin propose que soit indiqué dans la loi :
« qu'aucune pression ne doit s'exercer sur
la femme enceinte pour l'inciter à avorter » ;
que la femme enceinte reçoive une information sur
les conséquences physiques et psychologiques d'un avortement ;
que chaque centre d'avortement remette aux femmes la liste
des aides qui pourraient les aider à garder leur enfant ;
l'instauration d'entretiens post-abortifs.
On
remarquera que l'esprit des propositions de Christine Boutin reprend
les conditions restrictives, et jamais respectées, de la
loi Veil.
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REVIREMENT
DU Pr ISRAËL NISAND ? |
[21/06/2000] |
En
mars 1999, le professeur Israël Nisand remettait à
Martine Aubry un rapport sur "L'IVG en France"
dans lequel, parmi tout un ensemble de considérations visant
à favoriser l'avortement, il proposait l'instauration pour
les mineures d'un droit à l'avortement sans l'autorisation
de leurs parents, et le prolongement du délai légal
d'avortement de 10 semaines, tel qu'il est fixé par
la loi Veil, à 12 semaines.
Depuis juillet 1999, Dame Aubry et sa consur Nicole Péry
ont multiplié les interventions publiques annonçant,
pour avant la fin de l'été 2000, une large libéralisation
de la loi Veil dans le sens de ces propositions.
Le concert médiatique, qui s'est unanimement mobilisé
en faveur des idéologies véhiculées par les
ministres, s'exprime maintenant comme si, étant déjà
admis comme un fait, le délai de 12 semaines, on devait
envisager son prolongement jusqu'à 14 semaines.
C'est
à ce même moment que le professeur Israël Nisand
fait savoir au ministre Aubry qu'il est opposé au prolongement
du délai légal d'avortement. Il déclare en
effet : « Je suis pour un examen au cas par
cas mais contre l'allongement systématique. D'abord, les
médecins risquent de réagir très négativement.
Ensuite, l'avortement est plus difficile et plus dangereux à
14 qu'à 12 semaines. Mais surtout, on ne peut raccourcir
le délai de diagnostic prénatal et allonger celui
de l'IVG, car alors on encourage des décisions d'avortement
sur un diagnostic de sexe ou de petites malformations (...)
C'est de l'eugénisme d'État ».
Cependant,
lors d'un colloque sur la contraception et l'avortement, le même
professeur Nisand se déclare favorable à la dépénalisation
de l'avortement : « Si les politiques veulent
faire un effort pour le droit des femmes, je pense qu'il faudrai
maintenant dépénaliser l'IVG et mettre cette réglementation
dans la Code de la Santé publique et non plus dans le Code
Pénal ». Il a également estimé
que « 30 % des avortements pourraient se faire
hors de l'hôpital ».
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RECOURS
CONTRE LA PILULE "ROYAL"
DEVANT LE CONSEIL D'ÉTAT |
[15/06/2000] |
Le
16 juin, le recours déposé par LLV
SOS FM, ainsi que par d'autres associations, a été
examiné devant le Conseil d'État.
À cette occasion, le Commissaire du gouvernement, a demandé
le retrait de la circualire minstérielle autorisantla délivrance
de la "pilule du lendemain" dans les lycées et
collèges, au motif de diverses irrégularités
juridiques.
Reprenant à son compte l'argumentation des auteurs des
recours, le Commissaire du gouvernement relève, entre autre
chose, l'incapacité des infirmières scolaires à
prescrire une substance relevant normalement de l'autorité
médicale, l'incapacité de la structure scolaire
à se substituer à l'autorité parentale, et
l'ambiguïté de l'utilisation d'un produit ayant une
capacité abortive.
Dépitée d'être désavouée, Marie-Ségolène
Royal a annoncé que si le Conseil d'État suivait
les recommandations du Commissaire du gouvernement, elle déposerait
un projet de loi permettant de légaliser cette distribution.
Détournement caractéristique de la Loi, qui n'a
plus désormais pour objet la sauvegarde du bien commun
mais la promotion coûte que coûte de l'idéologie !
Le Conseil d'État statuera vers la fin juin.
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APRÈS
LE RAPPORT NISAND, MISE AU POINT
SUR LE NOMBRE D'AVORTEMENTS
CONCERNANT LES BÉBÉS EN FRANCE |
[04/04/2000] |
La
publication du rapport Nisand permet de faire le point sur les
chiffres réels de l'avortement en France.
En effet, la grande presse, s'empressant de relayer l'idéologie
officielle, répercute les chiffres publiés en ordre
séparés au cours des dernières années.
Ainsi, on apprend que 5 000 femmes, qui ont dépassé
les 10 semaines de grossesse, se déplacent à
l'étranger pour avorter.
On apprend que, si 2 500 mineures se présentent
dans les services de gynécologie pour accoucher, elles
sont 6 000 à se présenter pour avorter.
À la question de savoir s'il est réellement possible
de connaître combien d'avortements sont pratiqués
en France chaque année, le Pr Nisand répond que
par la faute « d'une mesure réglementaire ridicule »
qui impose aux établissements privés ne pas faire
plus de 25 % d'avortements par rapport au nombre d'accouchements,
un certain nombre de ces actes sont déclarés sous
une autre forme.
En 1998, 449 établissements publics et 408 établissements
privés ont réalisé des avortements.
En 1992, 52,3 % des avortements ont été réalisés
dans le secteur public et 47,7 % dans le secteur privé.
Sous réserve de l'imprécision évoquée
par le Pr Nisand, selon le décompte officiel de ces actes,
il y en aurait eu 220 000 en 1994 (certains autres chiffres
officiels ne donnent que 200 000. Le chiffre réel
est évidemment plus proche de 250 000).
En tout état de cause, ces chiffres représentent
au minimum un avortement pour 3 naissances, ce qui est trois fois
plus qu'aux Pays-Bas.
|
 |
UN
SONDAGE CONCERNANT
LA PROLONGATION DU DÉLAI LÉGAL DE
L'AVORTEMENT SUR www.tf1.fr |
[04/04/2000] |
Alors
que le gouvernement a annoncé son intention d'étendre
le délai légal d'avortement de 10 à 12 semaines,
un sondage d'opinion, organisé par une chaîne de
télévision, sur l'opportunité de cet allongement
peut-il être innocent ?
Un dossier consacré au 25ème anniversaire de la
loi Veil sur le site Internet de TF1 est en effet le prétexte
à un tel sondage.
Pour y accéder, taper htt://www.tf1.fr, puis sélectionner
la rubrique "info" puis aller à "dossier"
et ensuite cliquer qur l'image, "La loi Veil, 25 ans
après".
On y découvre d'abord un article retraçant les étapes
de l'adoption de cette loi de la culture de mort, puis vient le
sondage proprement dit. Il se situe dans la marge à gauche
de l'article et demande l'opinion des Internautes sur le projet
gouvernemental :
« La période légale de l'IVG devrait-elle
passer de 10 à 12 semaines ? ».
L'Internaute
coche sa réponse et clique sur le bouton "voter".
Ensuite s'affiche le résultat du vote. Jusqu'au 3 avril,
les résultats ont été les suivants :
Le
17 mars : 60 % étaient pour, 30 % contre
(214 votants) ;
le 20 mars : 36,7 % pour, 61,2 % contre (387
votants) ;
le 23 mars : 14,6 % pour, 84.5 % contre (1 126
votants) ;
le 3 avril : 33,2 % pour, 65,7 % contre (7 346 votants).
Sans
illusion sur les conséquences concrètes d'un tel
sondage, s'il était défavorable aux intentions du
duo Jospin-Aubry et de leur coterie, les Internautes défenseurs
de la culture de vie peuvent, comme l'a fait LLV
SOS FM, prendre parti.
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 |
LA
PILULE CONTRACEPTIVE DITE "PILULE
DU LENDEMAIN" DISTRIBUÉ À L'ÉCOLE DE
LA RÉPUBLIQUE (3ème partie) |
[03/02/2000] |
De
même que les décisions d'Aubry concernant l'extension
du "droit à l'avortement" font suite aux recommadations
du Pr Israël Nisand, de même les décisions
du ministre Royal ont trouvé leur agent incomparable en
la personne du directeur général de la Santé,
le Pr Lucien Abenhaïm qui, dans le Bulletin Officiel
de l'Éducation Nationale, hors série du 6 janvier 2000,
présente de la façon la plus encourgeante la pratique
recommandée par la dite Royal.
Contrairement à l'évidence médicale, le professeur
affirme que le Norlevo n'est pas un abortif et que ses
effets secondaires sont pratiquement inexistants.
Toutefois, ne reculant devant aucune contradiction, il signale,
un certain nombre d'effets indésirables possibles parmis
lesquels : vomissements, douleurs abdominales basses, céphalées,
athénie, tension mammaire, saignements à type métrorragies.
Il est précisé dans le texte officiel que c'est
l'infirmière scolaire qui prend ou ne prend pas langue
avec les parents pour les informer de l'éventualité
d'une "contraception d'urgence" pour leur fille mineure.
Il n'est rien dit de la situation qui se présenterait si
les parents refusaient la dite "contraception".
Inversement, si l'élève mineure « refuse
catégoriquement que la famille soit associée à
sa démarche », c'est l'infirmière
qui prend sur elle la décision de s'adresser au centre
de planification.
Enfin, si aucun centre de planification ou aucune structure extérieure
à l'école ne peut agir dans les délais, il
est prévu que l'infirmière peut elle-même
délivrer la pilule abortive à l'élève
mineure concernée.
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LE
RAPPORT NISAND, BIENTÔT TRADUIT
DANS LES FAITS (2ème partie) |
[20/01/2000] |
Suite
à la manifestations du 15 janvier des "passionarias"
de l'avortement, le soir même, le ministre Aubry annonçait
diverses mesures d'ici le mois de mars :
Remboursement intégral du stérilet (actuellement
pris en charge par la Sécurité Sociale à
hauteur de 65 fancs ; les 300 francs nécessaires
pour l'obtenir seront donc intégralement remboursés) ;
Les pilules contraceptives non remboursées à
ce jour le seront d'ici la fin de l'année.
De
son côté, Nicole Péry déclara :
« Je le réaffirme, nous allons modifier la loi
Veil d'ici à juillet ».
Dans
le même temps, on apprend que, dans un rapport du 4 janvier,
l'O.N.U. préconise l'importation de nouveaux immigrés
dans les pays occidentaux vu leur faible niveau démographique !
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programmé de l'amendement Garaud Le parti unique de
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Lettre de l'ACPERVie" [07/11/2003] |
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2002 |
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Importante
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Lu
dans le Manuel du politiquement correct [12/11/2002] |
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La
culture de mort ne se découpe pas [11/10/2002] |
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Communiqué
de l'A.C.I.M. :
UBU - Lois [06/09/2002] |
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Christine
Boutin se plaint : « Ma loyauté n'a pas
été reconnue » [23/07/2002] |
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Communiqué
de presse de la C.N.A.F.C. :
Généralisation de l'avortement :
les Assocations Familiales Catholiques dénoncent un projet
européen |
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Boutin
rallie la Majorité Présidentielle [30/07/2002] |
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Après
la réponse de Chirac à Jean-Bernard Grenouilleau,
les engagements de Chirac envers Boutin [16/05/2002] |
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Un
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2001 |
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Marche pour la Vie rappelle une vérité bien
nécéssaire [08/11/2001] |
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N'oublions
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Recours
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Des
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[13 juin 2001] |
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Offensive
intensifiée contre la France et l'avenir des Français
[19/04/2001] |
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1999 |
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La
"pilule du lendemain" distribuée à l'école
de la République (2e partie) [28/12/1999] |
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pilule contraceptive dite "pilule du lendemain" distribuée
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Le
rapport Nisand bientôt traduit dans les faits [21/10/1999] |
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Une
époustouflante logique de mort [15/03/1999] |
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Selon
le gouvernement, l'avortement n'est pas encore assez facile [15/03/1999] |
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