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LA
CULTURE DE VIE
FACE AUX TRIBUNAUX |
LA
« CARENCE DES POUVOIRS PUBLICS »
FACE AUX VIOLENCE EXERCÉES CONTRE
LE Dr DOR RECONNUE PAR LA JUSTICE |
[12/11/1999] |
Le
8 novembre, le Tribunal correctionnel de Paris a relaxé
un militant pro-vie qui avait été interpellé
en possession d'un "poing américain" dans la
poche lors d'une manifestation de prières organisée
par le Dr Dor, président de l'association SOS
Tout-Petits, devant la clinique Jeanne d'Arc (XIIIe arrondissement
de Paris).
Le tribunal a relevé le fait que la présence des
forces de l'ordre n'avait pas pour résultat de «
défendre ou protéger les manifestants des violences
injustifiées qu'ils avaient subies » et
que dans un « climat non justifié d'insécurité »,
dû, selon les juges, à « la carence des
pouvoirs publics » autorisait de ce faire le prévenu
à être porteur d'un "poing américain"
dans l'intention de se défendre ou de défendre autrui.
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LE
Dr DOR DEVANT LE TRIBUNAL DE REIMS |
[xx/xx/1999] |
Délibéré
du Tribunal correctionnel de Reims dans l'affaire du Dr Dor,
président de SOS Tout-Petits, et de deux de ses
compagnons (dont Myriam Dibundu) pour une affaire "d'entrave
à IVG" remontant au 27 septembre 1996.
Menacé d'une nouvelle poursuite pour "outrage à
magistrat", pour avoir lancé au substitut que la loi
couvrait le meurtre, le Dr Dor encoure, dans l'affaire en cause,
une amende de 60 000 F, le substitut ayant renoncé
à requérir contre lui une nouvelle peine d'emprisonnement.
Cette apparente modération ne tient nullement à
l'indulgence du parquet mais à des instructions visant
à ne pas conférer trop visiblement au Dr Dor la
palme du martyr pour sa défense des enfants à naître.
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LA
RÉPUBLIQUE TOUJOURS CONTRE
LA CULTURE DE VIE |
[xx/xx/1999] |
Les
tribunaux ont confirmé l'illégalité du préfet
de police Massoni interdisant les assemblées de
prières organisées par le Dr Dor, président
de SOS Tout-Petits, à côté des avortoirs.
Dernier en date, le tribunal correctionnel de Paris qui vient
de reconnaître de telles manifestations la qualité
de "délit politique".
Rappelons que malgré des condamnations antérieures
samblables, le préfet Massoni avait persisté à
refuser les autorisations de manifester demandées par le
Dr Dor.
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LES
DEUX FACES DE THÉMIS |
[xx/xx/1999] |
En
France, le secrétaire d'État aux droits de la femme,
Nicole Péry, se lamente de ce que l'application,
pourtant rigoureuse, de la loi Neiertz ne permette pas d'empêcher
le Dr Dor, président de SOS Tout-Petits,
de continuer à prier devant les avortoirs.
Elle déclare : « Nous procédons
pour l'instant en liaison avec le Ministère de la justice
et les associations féminines, à l'examen de cette
question. Les conclusions qui seront tirées me conduiront
soit à proposer au Premier ministre un projet de loi améliorant
la législation Neiertz, soit à préciser,
par voie de circulaire, les conditions d'une meilleure mise en
uvre de l'arsenal législatif actuel ».
En Grande-Bretagne, un manifestant qui se tenait en prière
devant une clinique d'avortements en tenant la photo d'un enfant
in utero a été acquitté. Le tribunal
a, en effet, estimé qu'un tel acte ne pouvait raisonnablement
être considéré comme un délit.
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CLAUSE
DE CONSCIENCE PROFESSIONNELLE |
[xx/xx/1999] |
Comme
on pouvait s'y attendre, la Cour de Cassation a rejetté
le pourvoi des deux courageux pharmaciens condamnés en
première et seconde instances pour refus de vente de contraceptifs.
Cette décision judiciaire qui revient à refuser
aux pharmaciens la clause de conscience, théoriquement
accordée aux médecins, va entraîner, dans
le cadre de l'évolution du droit, d'insurmontables problèmes
pratiques.
Les deux pharmaciens, à qui l'on prête l'intention
de sasisir la Cour européenne de justice, viennent de lancer
une association pour le droit à l'objection de conscience :
A.D.O.C.
167, avenue de l'Entre-deux-Mers 33370 SALLEBOEUF
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PLAINTE
POUR AVORTEMENT FORCÉ |
[xx/xx/1999] |
En
écho tragique au récent rapport adressé au
duo Kouchner-Aubry, la plainte que vient de déposer
une jeune nantaise de quinze ans et demi contre ses parents,
pour avoir été contrainte à un avortement,
alors qu'elle souhaitait, et que le père géniteur
souhaitait aussi, conserver l'enfant, risque de défrayer
la chronique judiciaire en soulignant encore les incohérences
de la législation française.
Le gouvernement veut favoriser l' "interruption volontaire
de grossesse" (IVG) chez les mineures. On se demande s'il
franchira le pas en favorisant aussi l'interruption involontaire
de grossesse (IIG).
Cette affaire est à suivre et nous ne maquerons pas d'en
informer les Internautes de notre site.
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DES
TRIBUNAUX FACE
AUX CONTRADICTIONS DE LA LOI |
[xx/xx/1999] |
Comme
Laissez-les-Vivre l'a souligné à
plusieurs reprises, les tribunaux français sont incapables
de tirer des conséquences logiques des lois contradictoires
qu'ils ont à appliquer.
Ainsi, le Tribunal correctionnel de Versailles vient, le 15 avril,
contrairement aux réquisitions du ministère public,
de condamner une sage-femme pour "homicide involontaire"
à la suite d'un accouchement d'un enfant mort-né.
La thèse du ministère public, qui avait requis le
non-lieu, était qu'il « ne pouvait y avoir
homicide involontaire d'un ftus, autrui au sens du
Code pénal ne pouvant être qu'une personne et la
personne humaine n'apparaissant qu'avec la naissance ».
Outre l'aspect plus que contestable de cette conception du point
de vue médical, la thèse du ministère public
est en contradiction avec les dispositions légales, conformes
à ce qui toujours a été admis dans tous les
pays civilisés, qui prévoient, par exemple, que
l'enfant non né peut déjà être considéré
comme un héritier dans les partages. On ne voit comment
quelque chose qui ne serait pas une personne humaine pourrait
bénéficier d'un droit appartenant proprement à
la personne humaine.
Par
son arrêt du 30 juin, la Cour de Cassation se confirme
bien comme le simple tribunal d'enregistrement des idéologies
politiques qu'elle est devenue depuis 1905.
Cet arrêt casse, en effet, celui de la Cour d'appel de Lyon
qui avait condamné un gynécologue pour "homicide
involontaire" sur un ftus de plus de 5 mois, avorté
par suite d'une confusion de patiente.
L'arrêt de cassation estime que la mort d'un enfant, au
stade de 22 semaines de grossesse, « ne serait constituer
un homicide involontaire punissable ».
C'est la première fois que la Cour de Cassation prend partie
ouvertement contre le principe universel des pays civilisés,
et que régit encore les dispositions du droit civil français :
« Infans conceptus pro nato habetur ».
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